Les jeux vidéo répondent aux critères de protection du 1er amendement. Au même titre que les livres, pièces de théâtres et films protégés, ils communiquent des idées à travers des moyens littéraires familiers propres au médium
Voici les différent réactions des éditeur et PDG
Mike Capps, président d'Epic Games (Gears of War):
Epic Games applaudit la validation de la Cour du système ESRB, en tant qu'outil adéquat aidant les parents à décider d'eux-mêmes quels jeux sont appropriés ou pas pour leurs familles.
Vince Desi - CEO de Running With Scissors (Postal):
Dieu merci, il y a encore des gens qui croient en notre constitution. Néanmoins je pense que tous les acteurs, des développeurs jusqu'aux parents en passant par les éditeurs et distributeurs, doivent prendre leurs responsabilités et arrêter l'hypocrisie qui est monnaie courante dans notre industrie.
Bobby Kotick, president d'Activision Blizzard (Call of Duty, Tony Hawk, Guitar Hero):
Protéger les enfants de contenus inappropriés pour leur âge est important et c'est pour ça que notre industrie possède un système de classement standard clair, net et précis.
Ken Levine, Directeur Créatif chez Irrational Games (BioShock) est quant à lui, ironique :
Cette loi était une mauvaise idée dès le départ. Elle aurait pu amener tous les jeux au classement M (mature), juste parce que les éditeurs auraient eu trop peur de représailles de l'Etat en risquant d'être accusés de sous-classer leurs jeux. Un plombier qui atterrit sur un champignon anthropomorphe en l'écrasant jusqu'à ce que mort s'en suive ? Hmm, mieux vaut lui coller un classement M...
Randy Pitchford - Président de Gearbox Software (Duke Nukem Forever, Borderlands):
Outre la décision elle-même, un des points clés qui m'a marqué est la reconnaissance très claire du jeu vidéo en tant que moyen d'expression, ce qui pourrait peut-être aider les non-joueurs cyniques et les gens associés à d'autres médias à mieux comprendre le nôtre et le considérer comme un art à part entière.
Ted Price, président d'Insomniac Games (Ratchet & Clank, Resistance):
Cette décision veut dire pour nous développeurs qu'on ne sera pas obligés de s'autocensurer parce qu'un propriétaire de magasin risque une amende pour avoir vendu un de nos jeux à un mineur. Ça veut dire aussi qu'on ne sera pas obligés de prévoir comment l’État va interpréter une loi ambiguë concernant le contenu d'un jeu. Mais le plus important c'est qu'on peut continuer à s'exprimer de manière libre dans un des médias les plus excitants et les plus culturellement pertinents.
John Riccitiello, CEO d'Electronic Arts (Battlefield, Madden, Mass Effect):
A travers l'histoire des États-Unis, chaque média créatif a dû batailler pour établir ses droits. A l'instar des livres et des films, les jeux vidéo ont dû tenir tête à la censure et défendre la cause de la liberté d'expression artistique
Voila, mais en théorie ce st bien mais en pratique ca doit être le boxon totale. Il ne faut pas oublier que dans les grandes surface de type Carrefour ou Fnac ca sera le rôle des caissière, enfin si il en a vue qu il en a de moins en moins.... Est ce cette lois est également fonctionne également sur les gameclouding ou encore les jeux dématérialisé ? Si un jeune adulte de 20 ans prête un OD a son frere qui a 16 ans, sera t il sanctionné vue que ce ts illicite ? Finalement c est loin d être gagné tout ca et on dirait bien que les actionnaire s en sortent bien ?