Salut à tous !
Aujourd'hui j'ai décidé de rebondir sur un des GRANDS des jeux de baston qui a eu plusieurs suites par la suite sur la Super Nintendo : Street Fighter II.
Titre: Street Fighter II: The World Warrior
Titre Alternatif : ストリートファイターⅡ
Genre : Jeu de Baston
Date de sortie : 17 Décembre 1992
Editeur : Capcom
Développeur : Capcom
Support : Arcade, Super Nintendo, PC, Amiga, Game Boy, WII (console virtuelle)
Qui n'a jamais joué à Street Fighter ? Qui n'a jamais vu un Hadoken lancé par Ryu ou Ken ?
C'est tout simplement le premier jeu de combat à succès (oui parce qu'il y en a eu avant). Cependant, Street Fighter II est considéré comme le digne père des jeux de baston;
Si l'on fait un saut dans le temps, il était difficile à l'époque de bien retranscrire un jeu qui était sur borne d'arcade, sur une console. Street Fighter II a su mettre une claque à ce niveau là. La ressemblance entre les deux versions des deux supports est bluffante. Visuellement, Street Fighter II : The World Warrior a réussi à se renouveler par rapport à Street Fighter premier du nom. L'esthétique du jeu est remarquable notamment dûe aux personnages; les sprites ont été retravaillé et les animations de ces derniers également. On se retrouve dans un jeu très fluide pour l'époque. Il n'y a qu'à comparer les personnages avant et après.
Les décors sont également magnifiques, sont animés (prenez le stage de Dhalsim où les éléphants lèvent leur trompe), apporte un schrolling horizontal, ainsi qu'une intéraction avec le décor : les barils qu'on peut détruire dans le stage de Ken en est un exemple.
On oublie le fait d'avoir un seul personnage jouable dans Street Fighter I, à savoir Ryu (ou Ken si vous jouez en Player 2) pour avoir le choix entre huit personnages. Tous sont très distinct; Ryu, le guerrier japonais, vagabond et solitaire, Blanka, l’aberration naturelle, animal plus qu’humain, Guile, le marine justicier... Cela confère une certaine histoire en fonction des personnages. De même que Chun-Li, la Chinoise avide de vengeance, unique représentante de la gent féminine, et qui est également l'un des premiers personnages féminin existant dans l'univers des jeux vidéo.
Ces huit personnages ne se distincte pas seulement par leur histoire personnage mais par leur manière de jouer, ce qui confère une grande richesse dans le jeu. Bien que Ryu et Ken se joue de la même manière, ce n'est pas pareil pour tout le monde. L'exemple le plus simple reste Zangief qui est un chopper; là où Ken et Ryu peuvent envoyer des hadoken à distance ou utiliser le shoryuken pour contre attaquer dans les airs, Zangief est plus porté sur le combat au corps à corps. Cela montre que Capcom a su rendre un gameplay très diversifié. Street Fighter II : The World Warrior apporte un gameplay jamais vu avant en matière de jeu de baston. Avec la possibilité de faire au choix, un coup faible, moyen ou fort, les stratégies pour venir à bout de son adversaire sont nombreuses. Cela a permis la naissance du principe des combos. Le stun ou les combinaisons de boutons permettant d'envoyer une attaque spéciale apporte un plus, bien que cela était déjà présent dans Street Fighter I.
Les bonus stages sont aussi une nouveauté dans les jeux de baston. Pas mal pour se défouler un bon coup lorsqu'un combattant vous a bien énerver. Un bon défouloir qui est aimé par le plus grand monde.
Cela est sans compter les 4 boss cachés et surtout le dernier où dans ce jeu, le terme boss était le bon. En effet, les derniers combattants sont bien plus difficiles à battre que les anciens combattants. Là où dans certains jeux, le(s) boss peuvent être plus faciles, ici ce n'est pas le cas. Street Fighter II : The World Warrior est le premier jeu de baston à introduire cette notion dans les jeux de combat.
Au niveau de la bande sonore, le jeu ammène des musiques propre à chacun qu'on est suceptible d'apprécier, pour l'époque ces musiques étaient très bonnes (tout du moins sur la Super Nintendo), surtout lorsqu'on sait qu'il était encore une fois difficile de faire un jeu sur console en essayant du mieux possible à ce qu'il ressemble à celui qu'il y avait sur borne d'arcade.
Street Fighter II : The World Warrior est un jeu dont on a du mal à s'en lasser. La durée est quasiment infinie vu comment on peut apprécier le jeu, et vu que le mode versus est présent, donc les combats entre vous affluent. Les personnages sont attachants et chacun à sa propre unité vocale, les graphismes pour l'époque sont très travaillés... Bref Street Fighter II : The World Warrior est comme une boîte de Pandore qui a révolutionné le monde des jeux vidéo, à tel point qu'on en parle et qu'on y joue encore aujourd'hui.
Note : 19/20
Pour ceux qui voudrait en savoir plus, je laisse ce podcast de Bas Gros Poing à télécharger, et qui concerne la création de Street Fighter II en complément en espérant qu'il vous plaise.
La création de Street Fighter II
Je ferais le test des autres jeux Street Fighter II plus tard ^^.
Aujourd'hui j'ai décidé de rebondir sur un des GRANDS des jeux de baston qui a eu plusieurs suites par la suite sur la Super Nintendo : Street Fighter II.
Titre: Street Fighter II: The World Warrior
Titre Alternatif : ストリートファイターⅡ
Genre : Jeu de Baston
Date de sortie : 17 Décembre 1992
Editeur : Capcom
Développeur : Capcom
Support : Arcade, Super Nintendo, PC, Amiga, Game Boy, WII (console virtuelle)
Qui n'a jamais joué à Street Fighter ? Qui n'a jamais vu un Hadoken lancé par Ryu ou Ken ?
C'est tout simplement le premier jeu de combat à succès (oui parce qu'il y en a eu avant). Cependant, Street Fighter II est considéré comme le digne père des jeux de baston;
Si l'on fait un saut dans le temps, il était difficile à l'époque de bien retranscrire un jeu qui était sur borne d'arcade, sur une console. Street Fighter II a su mettre une claque à ce niveau là. La ressemblance entre les deux versions des deux supports est bluffante. Visuellement, Street Fighter II : The World Warrior a réussi à se renouveler par rapport à Street Fighter premier du nom. L'esthétique du jeu est remarquable notamment dûe aux personnages; les sprites ont été retravaillé et les animations de ces derniers également. On se retrouve dans un jeu très fluide pour l'époque. Il n'y a qu'à comparer les personnages avant et après.
Avant | Après |
 |  |
 |  |
Les décors sont également magnifiques, sont animés (prenez le stage de Dhalsim où les éléphants lèvent leur trompe), apporte un schrolling horizontal, ainsi qu'une intéraction avec le décor : les barils qu'on peut détruire dans le stage de Ken en est un exemple.
On oublie le fait d'avoir un seul personnage jouable dans Street Fighter I, à savoir Ryu (ou Ken si vous jouez en Player 2) pour avoir le choix entre huit personnages. Tous sont très distinct; Ryu, le guerrier japonais, vagabond et solitaire, Blanka, l’aberration naturelle, animal plus qu’humain, Guile, le marine justicier... Cela confère une certaine histoire en fonction des personnages. De même que Chun-Li, la Chinoise avide de vengeance, unique représentante de la gent féminine, et qui est également l'un des premiers personnages féminin existant dans l'univers des jeux vidéo.
Ces huit personnages ne se distincte pas seulement par leur histoire personnage mais par leur manière de jouer, ce qui confère une grande richesse dans le jeu. Bien que Ryu et Ken se joue de la même manière, ce n'est pas pareil pour tout le monde. L'exemple le plus simple reste Zangief qui est un chopper; là où Ken et Ryu peuvent envoyer des hadoken à distance ou utiliser le shoryuken pour contre attaquer dans les airs, Zangief est plus porté sur le combat au corps à corps. Cela montre que Capcom a su rendre un gameplay très diversifié. Street Fighter II : The World Warrior apporte un gameplay jamais vu avant en matière de jeu de baston. Avec la possibilité de faire au choix, un coup faible, moyen ou fort, les stratégies pour venir à bout de son adversaire sont nombreuses. Cela a permis la naissance du principe des combos. Le stun ou les combinaisons de boutons permettant d'envoyer une attaque spéciale apporte un plus, bien que cela était déjà présent dans Street Fighter I.
Les bonus stages sont aussi une nouveauté dans les jeux de baston. Pas mal pour se défouler un bon coup lorsqu'un combattant vous a bien énerver. Un bon défouloir qui est aimé par le plus grand monde.
Cela est sans compter les 4 boss cachés et surtout le dernier où dans ce jeu, le terme boss était le bon. En effet, les derniers combattants sont bien plus difficiles à battre que les anciens combattants. Là où dans certains jeux, le(s) boss peuvent être plus faciles, ici ce n'est pas le cas. Street Fighter II : The World Warrior est le premier jeu de baston à introduire cette notion dans les jeux de combat.
Au niveau de la bande sonore, le jeu ammène des musiques propre à chacun qu'on est suceptible d'apprécier, pour l'époque ces musiques étaient très bonnes (tout du moins sur la Super Nintendo), surtout lorsqu'on sait qu'il était encore une fois difficile de faire un jeu sur console en essayant du mieux possible à ce qu'il ressemble à celui qu'il y avait sur borne d'arcade.
Street Fighter II : The World Warrior est un jeu dont on a du mal à s'en lasser. La durée est quasiment infinie vu comment on peut apprécier le jeu, et vu que le mode versus est présent, donc les combats entre vous affluent. Les personnages sont attachants et chacun à sa propre unité vocale, les graphismes pour l'époque sont très travaillés... Bref Street Fighter II : The World Warrior est comme une boîte de Pandore qui a révolutionné le monde des jeux vidéo, à tel point qu'on en parle et qu'on y joue encore aujourd'hui.
Note : 19/20
Pour ceux qui voudrait en savoir plus, je laisse ce podcast de Bas Gros Poing à télécharger, et qui concerne la création de Street Fighter II en complément en espérant qu'il vous plaise.
La création de Street Fighter II
Je ferais le test des autres jeux Street Fighter II plus tard ^^.
