Strider
Editeur : Capcom
Développeur : Double Hélix
Genre : Action – 1 Joueur
Format : Xbox 360 & PS4 Taille sur le disque dur : 1,6 Go (360) et 2,6 Go (Ps4)
Date de sortie : 19 février 2014 Tarif : environ 15 euros – Gratuit sur le Psn
Aiguisé comme une lame, les jeux sortis sur le Xbla sont une plus value pour la logithèque pour la Xbox 360. Ils permettent de s’amuser immédiatement mais également d’amener le jeune public à découvrir des hits anciens qui ont encore une superbe Replay value à l’image d’un Ikaruga ou d’un Bomberman.
Qu’est-ce qui t’as pris bordel…d’avoir aidé un joueur sur 360, dimanche dernier, j’ai fini le remake de Strider, sans même avoir acheté le titre, quelle honte pour moi, étant un fan des jeux de Capcom. J’ai toujours apprécié Strider. A l’époque, c’était sur console Megadrive (l’original étant sorti en arcade en 1989) que j’ai le plus joué au jeu de Capcom, dans ce qui en était sans doute la meilleure version. J’adorais l’ambiance du titre, les postures du héros, le principe de s’accrocher partout… Mais je passais mon temps à mourir lamentablement. Les manettes étant filaires, elles ne sont pas passées par la fenêtre, mais pas loin. Plus d’une fois je me suis dit que je n’y reviendrai pas. Et puis si. Typique des jeux d’arcade de la fin des années 80 : des jeux difficiles, exigeants, mettant les nerfs à rude épreuve, mais terriblement attachants. J’ai donc toujours détesté ce jeu, tout en l’aimant quand même. Une recette qui a été suivie dans ce remake ?
Trop cher et pourtant…
N’appréciant pas la politique de Microsoft envers les jeux Xbla qui ne seront pas convertis sur la Xbox One, j’avais décidé d’éviter de craquer, possédant plus de 70 jeux dématérialisés, ces titres ont une valeur indispensable : le remake de Radiant Silvergun, Darstalkers Ressurection, Daytona Usa, Mark of the Ninja,…
Dernièrement, l’achat d’une PS4 a changé la donne. Les membres du PSN + bénéficient de jeux gratuits tous les mois. Désirant tester l’offre, le titre Strider était offert pour nada… De plus, j’ai convaincu un collègue de travail, lui aussi à se procurer ce remake. La version d’essai sur 360 proposait un beau challenge jusqu’au 1er gardien, idéal pour se faire une idée de la difficulté.
Aie, Double Hélix !?
Le studio Double Hélix est connu pour la réalisation de daubes immondes comme Green Lantern The Video Games ou avoir massacré un épisode de Front Mission. On pouvait craindre le pire et pourtant le remake de Strider arrive à surprendre. Pour les 25 ans du jeu orignal, ce développeur rend un brillant hommage.
La première chose qui frappe celui qui connaît le jeu d’origine, c’est que sa paternité est évidente. Bien qu’ayant heureusement bénéficié d’un lifting technique flagrant, ce Strider nouveau reprend tout ce qui faisait l’identité visuelle du premier épisode. On retrouve les mêmes postures du Ninja Hiryu, et la même forte inspiration de l’ex-bloc communiste dans le pays de Kazakh qu’on doit libérer d’un tyran. C’est en cela que consiste le scénario, dont on aurait peut-être pu se passer tant il est sans intérêt, et même mal raconté, cassant l’ambiance générale avec un jeu d’acteurs outré un peu ridicule. C’est un jeu d’arcade, autant y aller franchement ! A l’époque on ne s’embarrassait pas de détails, un écran de texte pour résumer la situation, et hop, on enquillait les niveaux !
Un ersatz de Spider-Man
Notre ninja manie un sabre tellement tranchant qu’il est sans doute en adamantium, saute partout, s’agrippe à toutes les parois comme Spider-Man, et n’a peur de rien ! Le jeu, dans une représentation 2D, propose un mix de beat’em all et de plateformes à l’ancienne, n’hésitant pas à jouer sur la verticalité des niveaux. Dans la grande tradition des jeux d’arcade, on croise très régulièrement des adversaires plus gros (voire nettement plus gros) : de bon vieux boss pour lesquels il faudra d’abord passer par un round d’observation afin de cerner la meilleure façon de les réduire en pièces. On peut également noter que le jeu se déroule sur un modèle similaire à un Castlevania, avec des quartiers qui font office de niveaux, et qui comprennent des zones qui ne sont accessibles qu’à partir du moment où on progresse et où on débloque certains mouvements (le double-saut, la glissade…). Certes c’est une actualisation du jeu d’origine, mais un peu comme pour Bionic Commando Re-armed, on garde ce bon vieux feeling des jeux de l’époque.
Heureusement, la maniabilité n’est plus aussi rigide, et est même très réussie. Si on se plante, si on échoue, c’est parce qu’on n’a pas fait ce qu’il fallait. Les mouvements s’acquièrent au fur et à mesure et avec un peu de pratique on arrive à faire exactement ce qu’on veut d’Hiryu. Sauter par-dessus un adversaire, lui planter sa lame avant de faire une glissade pour éviter un tir et de grimper sur une plateforme pour trucider l’assaillant est même assez jouissif ! Petit bémol toutefois, le ninja s’accrochant automatiquement aux parois, il arrivera qu’il se suspende alors que ce n’était pas l’objectif. Ce n’est pas une vraie faiblesse, mais une difficulté supplémentaire à prendre en compte.
Dur, dur et alors
Le début du jeu est une escroquerie. Ça a l’air de plutôt bien se passer, ce n’est pas très grave de se prendre quelques tirs de temps en temps, tout va bien. Puis la difficulté monte vite d’un cran… puis d’un autre… puis d’un autre ! Strider reprend une autre composante des jeux d’arcade de l’époque : c’est dur ! On ne compte pas le nombre de fois où on regarde, au bord de la crise de nerf, l’écran « partie terminée ». Même le mode easy propose un challenge plus que respectable. Il faut bien connaître les niveaux, les enchaînements de sauts et de coups à donner, et analyser les faiblesses des boss pour pouvoir avancer. C’est possible, et c’est très gratifiant quand on y arrive, mais les joueurs d’aujourd’hui, habitués à plus d’assistance, vont sans doute avoir du mal à tenir le coup. Par contre, que tous ceux qui sur les forums de jeux vidéos bombent le torse en se plaignant de la facilité des jeux s’y attaquent, ils vont adorer !
Il y a plusieurs façons de jouer : on peut chercher à aller à l’essentiel, mais on peut aussi re-parcourir les niveaux une fois débloquées de nouvelles capacités afin de trouver divers bonus qui facilitent (un peu) les choses. Petit détail que ceux qui aiment démontrer leurs skills vont apprécier : une fois le jeu bouclé, on peut même s’essayer à un mode de jeu qui s’apparente à un speed-run ! Strider assume tellement sa difficulté qu’il va parfois un peu loin, en mettant les points de sauvegarde APRÈS les passages les plus ardus. A chaque mort, il faut donc revenir bien avant pour retenter sa chance…
Techniquement, le jeu tient la route, proposant des environnements relativement variés et une très bonne animation. Rien d’extraordinaire, mais une réalisation solide pour un jeu de ce type. On regrettera toutefois qu’à l’intérieur de chaque niveau il y ait une certaine répétitivité, comme une thématique particulière, heureusement différente d’un niveau à l’autre. Dommage également que les temps de chargement soient si longs. Dans un jeu où on meurt souvent, ce petit défaut prend malheureusement vite une certaine importance… A moins que ce ne soit volontaire, pour laisser le temps au joueur d’exprimer sa frustration et pour lui donner le temps de se reconcentrer !
Bonne pioche !
A l’heure où Microsoft et Nintendo possèdent une ludothèque de jeux dématérialisés bien étoffé ; Sony commence à détenir des titres tout aussi sympathique en l’occurrence avec un Resogun, ou bien un Guiataméle. La Playstation 4 reçoit à présent Strider, une référence des jeux d’arcade. Dommage qu’on ne reçoit pas le titre original lorsqu’on termine le remake, cela aurait été une belle récompense.
Cette nouvelle version de Strider est une franche réussite. On retrouve bien les caractéristiques du jeu original, ingénieusement remises au goût du jour, et ce avec une réalisation propre et une identité graphique marquée. Une réussite, certes, mais uniquement dans son genre de prédilection et destinée avant tout à une catégorie de joueurs : les vrais amateurs d’arcade qui n’ont pas peur de la difficulté. Ils en ressortiront une grande satisfaction, celle de réussir un challenge à leur mesure. A l’inverse, les joueurs plus occasionnels risquent de perdre leurs nerfs à force de mourir. Mais ces joueurs là, à priori, ne se sont même pas intéressés à la sortie de ce jeu. Strider est un défi pour tous les joueurs en quête de difficulté. Si c’est votre cas, n’hésitez pas, et si ça ne l’est pas et que sur un forum ou avec des amis vous avez affaire à des joueurs se plaignant que les jeux d’aujourd’hui sont trop simples, acceptez de continuer à leur parler seulement quand ils auront terminé Strider dans son mode de difficulté le plus élevé.
Le remake de Strider reste une excellente surprise pour cette année alors qu’on pensait que le studio Retro Helix allait massacrer ce titre. De plus, il rend un hommage à ce personnage qui a autant de classe qu’un certain Dante (Devil May Cry). Et ce mois-ci, le jeu est offert aux membres du Psn. Alors, foncez, mais sachez que pour atteindre le tyran, il vous faudra près de neuf heures de combat.
Aiguisé comme une lame, pointu comme un couteau (ou les Kunaïs), chauffé comme une flamme et puissant comme un fusil d’assaut, Strider Hiryu tranche dans le vif.
(suite du test en post 2)
Editeur : Capcom
Développeur : Double Hélix
Genre : Action – 1 Joueur
Format : Xbox 360 & PS4 Taille sur le disque dur : 1,6 Go (360) et 2,6 Go (Ps4)
Date de sortie : 19 février 2014 Tarif : environ 15 euros – Gratuit sur le Psn
Aiguisé comme une lame, les jeux sortis sur le Xbla sont une plus value pour la logithèque pour la Xbox 360. Ils permettent de s’amuser immédiatement mais également d’amener le jeune public à découvrir des hits anciens qui ont encore une superbe Replay value à l’image d’un Ikaruga ou d’un Bomberman.
Qu’est-ce qui t’as pris bordel…d’avoir aidé un joueur sur 360, dimanche dernier, j’ai fini le remake de Strider, sans même avoir acheté le titre, quelle honte pour moi, étant un fan des jeux de Capcom. J’ai toujours apprécié Strider. A l’époque, c’était sur console Megadrive (l’original étant sorti en arcade en 1989) que j’ai le plus joué au jeu de Capcom, dans ce qui en était sans doute la meilleure version. J’adorais l’ambiance du titre, les postures du héros, le principe de s’accrocher partout… Mais je passais mon temps à mourir lamentablement. Les manettes étant filaires, elles ne sont pas passées par la fenêtre, mais pas loin. Plus d’une fois je me suis dit que je n’y reviendrai pas. Et puis si. Typique des jeux d’arcade de la fin des années 80 : des jeux difficiles, exigeants, mettant les nerfs à rude épreuve, mais terriblement attachants. J’ai donc toujours détesté ce jeu, tout en l’aimant quand même. Une recette qui a été suivie dans ce remake ?
Trop cher et pourtant…
N’appréciant pas la politique de Microsoft envers les jeux Xbla qui ne seront pas convertis sur la Xbox One, j’avais décidé d’éviter de craquer, possédant plus de 70 jeux dématérialisés, ces titres ont une valeur indispensable : le remake de Radiant Silvergun, Darstalkers Ressurection, Daytona Usa, Mark of the Ninja,…
Dernièrement, l’achat d’une PS4 a changé la donne. Les membres du PSN + bénéficient de jeux gratuits tous les mois. Désirant tester l’offre, le titre Strider était offert pour nada… De plus, j’ai convaincu un collègue de travail, lui aussi à se procurer ce remake. La version d’essai sur 360 proposait un beau challenge jusqu’au 1er gardien, idéal pour se faire une idée de la difficulté.
Aie, Double Hélix !?
Le studio Double Hélix est connu pour la réalisation de daubes immondes comme Green Lantern The Video Games ou avoir massacré un épisode de Front Mission. On pouvait craindre le pire et pourtant le remake de Strider arrive à surprendre. Pour les 25 ans du jeu orignal, ce développeur rend un brillant hommage.
La première chose qui frappe celui qui connaît le jeu d’origine, c’est que sa paternité est évidente. Bien qu’ayant heureusement bénéficié d’un lifting technique flagrant, ce Strider nouveau reprend tout ce qui faisait l’identité visuelle du premier épisode. On retrouve les mêmes postures du Ninja Hiryu, et la même forte inspiration de l’ex-bloc communiste dans le pays de Kazakh qu’on doit libérer d’un tyran. C’est en cela que consiste le scénario, dont on aurait peut-être pu se passer tant il est sans intérêt, et même mal raconté, cassant l’ambiance générale avec un jeu d’acteurs outré un peu ridicule. C’est un jeu d’arcade, autant y aller franchement ! A l’époque on ne s’embarrassait pas de détails, un écran de texte pour résumer la situation, et hop, on enquillait les niveaux !
Un ersatz de Spider-Man
Notre ninja manie un sabre tellement tranchant qu’il est sans doute en adamantium, saute partout, s’agrippe à toutes les parois comme Spider-Man, et n’a peur de rien ! Le jeu, dans une représentation 2D, propose un mix de beat’em all et de plateformes à l’ancienne, n’hésitant pas à jouer sur la verticalité des niveaux. Dans la grande tradition des jeux d’arcade, on croise très régulièrement des adversaires plus gros (voire nettement plus gros) : de bon vieux boss pour lesquels il faudra d’abord passer par un round d’observation afin de cerner la meilleure façon de les réduire en pièces. On peut également noter que le jeu se déroule sur un modèle similaire à un Castlevania, avec des quartiers qui font office de niveaux, et qui comprennent des zones qui ne sont accessibles qu’à partir du moment où on progresse et où on débloque certains mouvements (le double-saut, la glissade…). Certes c’est une actualisation du jeu d’origine, mais un peu comme pour Bionic Commando Re-armed, on garde ce bon vieux feeling des jeux de l’époque.
Heureusement, la maniabilité n’est plus aussi rigide, et est même très réussie. Si on se plante, si on échoue, c’est parce qu’on n’a pas fait ce qu’il fallait. Les mouvements s’acquièrent au fur et à mesure et avec un peu de pratique on arrive à faire exactement ce qu’on veut d’Hiryu. Sauter par-dessus un adversaire, lui planter sa lame avant de faire une glissade pour éviter un tir et de grimper sur une plateforme pour trucider l’assaillant est même assez jouissif ! Petit bémol toutefois, le ninja s’accrochant automatiquement aux parois, il arrivera qu’il se suspende alors que ce n’était pas l’objectif. Ce n’est pas une vraie faiblesse, mais une difficulté supplémentaire à prendre en compte.
Dur, dur et alors
Le début du jeu est une escroquerie. Ça a l’air de plutôt bien se passer, ce n’est pas très grave de se prendre quelques tirs de temps en temps, tout va bien. Puis la difficulté monte vite d’un cran… puis d’un autre… puis d’un autre ! Strider reprend une autre composante des jeux d’arcade de l’époque : c’est dur ! On ne compte pas le nombre de fois où on regarde, au bord de la crise de nerf, l’écran « partie terminée ». Même le mode easy propose un challenge plus que respectable. Il faut bien connaître les niveaux, les enchaînements de sauts et de coups à donner, et analyser les faiblesses des boss pour pouvoir avancer. C’est possible, et c’est très gratifiant quand on y arrive, mais les joueurs d’aujourd’hui, habitués à plus d’assistance, vont sans doute avoir du mal à tenir le coup. Par contre, que tous ceux qui sur les forums de jeux vidéos bombent le torse en se plaignant de la facilité des jeux s’y attaquent, ils vont adorer !
Il y a plusieurs façons de jouer : on peut chercher à aller à l’essentiel, mais on peut aussi re-parcourir les niveaux une fois débloquées de nouvelles capacités afin de trouver divers bonus qui facilitent (un peu) les choses. Petit détail que ceux qui aiment démontrer leurs skills vont apprécier : une fois le jeu bouclé, on peut même s’essayer à un mode de jeu qui s’apparente à un speed-run ! Strider assume tellement sa difficulté qu’il va parfois un peu loin, en mettant les points de sauvegarde APRÈS les passages les plus ardus. A chaque mort, il faut donc revenir bien avant pour retenter sa chance…
Techniquement, le jeu tient la route, proposant des environnements relativement variés et une très bonne animation. Rien d’extraordinaire, mais une réalisation solide pour un jeu de ce type. On regrettera toutefois qu’à l’intérieur de chaque niveau il y ait une certaine répétitivité, comme une thématique particulière, heureusement différente d’un niveau à l’autre. Dommage également que les temps de chargement soient si longs. Dans un jeu où on meurt souvent, ce petit défaut prend malheureusement vite une certaine importance… A moins que ce ne soit volontaire, pour laisser le temps au joueur d’exprimer sa frustration et pour lui donner le temps de se reconcentrer !
Bonne pioche !
A l’heure où Microsoft et Nintendo possèdent une ludothèque de jeux dématérialisés bien étoffé ; Sony commence à détenir des titres tout aussi sympathique en l’occurrence avec un Resogun, ou bien un Guiataméle. La Playstation 4 reçoit à présent Strider, une référence des jeux d’arcade. Dommage qu’on ne reçoit pas le titre original lorsqu’on termine le remake, cela aurait été une belle récompense.
Cette nouvelle version de Strider est une franche réussite. On retrouve bien les caractéristiques du jeu original, ingénieusement remises au goût du jour, et ce avec une réalisation propre et une identité graphique marquée. Une réussite, certes, mais uniquement dans son genre de prédilection et destinée avant tout à une catégorie de joueurs : les vrais amateurs d’arcade qui n’ont pas peur de la difficulté. Ils en ressortiront une grande satisfaction, celle de réussir un challenge à leur mesure. A l’inverse, les joueurs plus occasionnels risquent de perdre leurs nerfs à force de mourir. Mais ces joueurs là, à priori, ne se sont même pas intéressés à la sortie de ce jeu. Strider est un défi pour tous les joueurs en quête de difficulté. Si c’est votre cas, n’hésitez pas, et si ça ne l’est pas et que sur un forum ou avec des amis vous avez affaire à des joueurs se plaignant que les jeux d’aujourd’hui sont trop simples, acceptez de continuer à leur parler seulement quand ils auront terminé Strider dans son mode de difficulté le plus élevé.
Le remake de Strider reste une excellente surprise pour cette année alors qu’on pensait que le studio Retro Helix allait massacrer ce titre. De plus, il rend un hommage à ce personnage qui a autant de classe qu’un certain Dante (Devil May Cry). Et ce mois-ci, le jeu est offert aux membres du Psn. Alors, foncez, mais sachez que pour atteindre le tyran, il vous faudra près de neuf heures de combat.
Aiguisé comme une lame, pointu comme un couteau (ou les Kunaïs), chauffé comme une flamme et puissant comme un fusil d’assaut, Strider Hiryu tranche dans le vif.
(suite du test en post 2)