Titre : Même pas mal
Titre original : Dodgeball, a True Underdog Story
Genre : comédie
Sous-genre : Caméoméooooooo...
Date : 2004
Durée : 1H32
Distribution : UFD
Acteur principaux : Vince Vaughn, Ben Stiller, Christine Taylor, Justin Long, Alan Tudyk, une pelletée de guest...
Résumé : Peter LaFleur (Vince Vaughn), gérant d'un gymnase, en difficulté financière, cela étant en majorité du à son ambition digne d'une ampoule de 15 watt (son centre de musculation est appelé Average Joe's, soit : les Messieurs Tout le Monde), est obligé de trouver 50 000 $ en moins d'un mois, sinon il se fait racheter par son concurrent et ennemi, le très méchant et égoïste White Goodman (un Ben Stiller travesti en Gérard Vivès à moustache)
Donc c'est parti! Après avoir épuisé le stock d'idées pourries, les Average Joe's se lancent, avec la fille sexy du coin, dans un tournoi de balle au prisonnier amélioré style Rollerball, à Las Vegas, où le prix est de, ô miracle, 50 000$.
Reste plus qu'à battre des équipe plus débiles et caricaturales les unes que les autres : une troupe féminine de scouts, les Kamikazes (des Japonais en pagne), la Las Vegas P.D, ou autres Allemands avec un leader.... charismatique!
Des gentils super gentils...
...Des méchants super méchants...
...Et Chuck Norris...
...Sans oublier Hasselhoff.
[
Ho? Le premier cycliste qui a marché sur la Lune!
Mon avis : Dodgeball, un vrai film de boules.... tel est ainsi résumé le film dans sa jaquette française... Cette phrase est un bon miroir d'un film que ne se prend pas au sérieux, et pour ça : IL NE S'Y PREND PAS, AU SERIEUX ! Entre les blagues douteuses, dégueues, faciles, racistes, vidéogaguesque.... vous allez bien en trouver à votre goût.
Alors scénario pas très malin, gags pas très malins, mais finalement, quand on regarde ce genre de films, c'est pas pour pondre une thèse sur le paracétamol les jours de pluies.
Cependant, si obligatoirement on fini par rigoler, ça peut prendre du temps.... C'est comme s'immerger dans la mer sur les côtes de Belgique en été, faut prendre son temps, mais on fini par s'en satisfaire. On est un peu comme devant un Zidi du bon vieux temps : les Charlots, à faire des blagues à la mitrailleuse, y'en a au moins une qui vous touchera! C'est surtout à partir du tournoi que ça devient marrant, en fait!
Moi, j'ai personnellement apprécié les coup de clefs anglaises dans la tronche en guise d'entraînement, les vieux préjugés assortis d'un duo de présentateurs digne d'un Larqué et d'un Roland de la grande époque!
Et comment pourrais-je oublier le vrai seul intérêt du film : les apparitions de guest, qui sont carrément extras : un David Hasselhoff rempli d'autodérision, un Chuck Norris rempli de Pepsi, un Lance Armstrong devant une caméra de cinéma comme s'il s'agissait d'une interview d'après le tour de France.... nan, rien que pour ça, faut le voir!
Évidemment : ce film n'est pas intelligent, vous n'apprendrez rien en 1H32, à part que les clefs à molette, ça fait mal... mais bon, après une bonne journée de boulot, un truc où il ne faut pas réfléchir, ça fait quand même plaisir!
Notes :
Scénario/humour : 3/5
Réalisation : 3/5
Intérêt : 1/5
Casting : 4/5 (au final, bons seconds rôles, c'est pas si facile de bien jouer les bouffons)
Bonus/malus : +2 (apparition de Hasselhoff), -1 (apparition d'Armstrong), + infini (apparition de Chuck Norris)
Note générale : Infini+12 / 20....
Bon d'accord : disons un bon 12, car il est quand même sympa.... mais je le conseille entre amis quand même, perdez pas une heure et demi de votre vie, seul devant votre télé!
Titre original : Dodgeball, a True Underdog Story
Genre : comédie
Sous-genre : Caméoméooooooo...
Date : 2004
Durée : 1H32
Distribution : UFD
Acteur principaux : Vince Vaughn, Ben Stiller, Christine Taylor, Justin Long, Alan Tudyk, une pelletée de guest...
Résumé : Peter LaFleur (Vince Vaughn), gérant d'un gymnase, en difficulté financière, cela étant en majorité du à son ambition digne d'une ampoule de 15 watt (son centre de musculation est appelé Average Joe's, soit : les Messieurs Tout le Monde), est obligé de trouver 50 000 $ en moins d'un mois, sinon il se fait racheter par son concurrent et ennemi, le très méchant et égoïste White Goodman (un Ben Stiller travesti en Gérard Vivès à moustache)
Donc c'est parti! Après avoir épuisé le stock d'idées pourries, les Average Joe's se lancent, avec la fille sexy du coin, dans un tournoi de balle au prisonnier amélioré style Rollerball, à Las Vegas, où le prix est de, ô miracle, 50 000$.
Reste plus qu'à battre des équipe plus débiles et caricaturales les unes que les autres : une troupe féminine de scouts, les Kamikazes (des Japonais en pagne), la Las Vegas P.D, ou autres Allemands avec un leader.... charismatique!
Des gentils super gentils...
...Des méchants super méchants...
...Et Chuck Norris...
...Sans oublier Hasselhoff.
[Ho? Le premier cycliste qui a marché sur la Lune!
Mon avis : Dodgeball, un vrai film de boules.... tel est ainsi résumé le film dans sa jaquette française... Cette phrase est un bon miroir d'un film que ne se prend pas au sérieux, et pour ça : IL NE S'Y PREND PAS, AU SERIEUX ! Entre les blagues douteuses, dégueues, faciles, racistes, vidéogaguesque.... vous allez bien en trouver à votre goût.
Alors scénario pas très malin, gags pas très malins, mais finalement, quand on regarde ce genre de films, c'est pas pour pondre une thèse sur le paracétamol les jours de pluies.
Cependant, si obligatoirement on fini par rigoler, ça peut prendre du temps.... C'est comme s'immerger dans la mer sur les côtes de Belgique en été, faut prendre son temps, mais on fini par s'en satisfaire. On est un peu comme devant un Zidi du bon vieux temps : les Charlots, à faire des blagues à la mitrailleuse, y'en a au moins une qui vous touchera! C'est surtout à partir du tournoi que ça devient marrant, en fait!
Moi, j'ai personnellement apprécié les coup de clefs anglaises dans la tronche en guise d'entraînement, les vieux préjugés assortis d'un duo de présentateurs digne d'un Larqué et d'un Roland de la grande époque!
Et comment pourrais-je oublier le vrai seul intérêt du film : les apparitions de guest, qui sont carrément extras : un David Hasselhoff rempli d'autodérision, un Chuck Norris rempli de Pepsi, un Lance Armstrong devant une caméra de cinéma comme s'il s'agissait d'une interview d'après le tour de France.... nan, rien que pour ça, faut le voir!
Évidemment : ce film n'est pas intelligent, vous n'apprendrez rien en 1H32, à part que les clefs à molette, ça fait mal... mais bon, après une bonne journée de boulot, un truc où il ne faut pas réfléchir, ça fait quand même plaisir!
Notes :
Scénario/humour : 3/5
Réalisation : 3/5
Intérêt : 1/5
Casting : 4/5 (au final, bons seconds rôles, c'est pas si facile de bien jouer les bouffons)
Bonus/malus : +2 (apparition de Hasselhoff), -1 (apparition d'Armstrong), + infini (apparition de Chuck Norris)
Note générale : Infini+12 / 20....
Bon d'accord : disons un bon 12, car il est quand même sympa.... mais je le conseille entre amis quand même, perdez pas une heure et demi de votre vie, seul devant votre télé!
Dernière édition par Marklor le Sam 4 Juil 2009 - 1:29, édité 1 fois
