Titre : Deep Love
Titre original : Deep Love Ayu to monogatari
Nombre de volumes : 2
Titre : Deep Love Host
Titre original : Deep Love Host
Nombre de volumes : 2
Genre : Josei
Auteur : Yuu Yoshi
Date de sortie : 2005
Editeur : non licencié
Déconseillé au moins de 16 ans
Deep Love est une série qui se divise en 4 parties, chacune racontant les événements du point de vue d'un perso différent. La série n'étant pour le moment pas publié et pas entièrement scannée, je ne vous parlerai que des deux premières parties, à savoir les 4 premiers volumes.
Ayu est une lycéenne qui doit se prostituer pour survivre. N'ayant aucun endroit ou habiter, elle vit chez un gigolo qui a de sérieux problèmes de drogue. Un jour, elle rencontre dans la rue une grand mère qui plante des fleurs. A son contact, elle va remettre sa vie en question. Pour sauver Yoshiyuki, le fils adoptif de la vieille dame atteint d'une maladie du coeur, elle va vouloir gagner de l'argent, mais cette fois sans vendre son corps ...
Dans la deuxième partie, c'est Yoshiyuki le personnage principal. On le retrouve quelques années plus tard, travaillant dans un club d'hotes.
Comme vous l'aurez compris, voilà encore une histoire qui n'est pas gaie du tout. Les thèmes abordés sont durs, prostitution, drogue, maladie ... ce qui ne met pas toujours à l'aise, en partie à cause des dessins assez crus, malgré le trait très shojo.
Pour ma part, j'ai été captivée dès le premier chapitre. A la base, le titre ne me parlait pas du tout, je m'attendais à un truc super niais à vrai dire. Puis le résumé m'a plu et je suis vraiment contente de l'avoir lu. On s'attache assez vite à la perso en espérant de tout coeur qu'elle s'en sorte. Pourtant, les catastrophes s'enchainent, pas un moment de répit. Le rythme est certes bien soutenu, mais j'avoue que par moment, c'est un peu too much, un peu comme si l'auteur passait ses nerfs sur les persos.
En bref, si vous aimez les histoires tristes, ou les histoires qui traitent des problèmes de la société, allez y, ça se lit bien, les dessins sont jolis et l'histoire est bien racontée. C'est pas pour rien que ce manga est si populaire auprès du public des fans de shojos (il faut dire que tout les codes du josei s'y trouvent).
Dans le cas contraire, passez simplement votre chemin, tout ce que ça pourra vous faire, ce serai vous sapper le moral.
Titre original : Deep Love Ayu to monogatari
Nombre de volumes : 2
Titre : Deep Love Host
Titre original : Deep Love Host
Nombre de volumes : 2
Genre : Josei
Auteur : Yuu Yoshi
Date de sortie : 2005
Editeur : non licencié
Déconseillé au moins de 16 ans
Deep Love est une série qui se divise en 4 parties, chacune racontant les événements du point de vue d'un perso différent. La série n'étant pour le moment pas publié et pas entièrement scannée, je ne vous parlerai que des deux premières parties, à savoir les 4 premiers volumes.
Ayu est une lycéenne qui doit se prostituer pour survivre. N'ayant aucun endroit ou habiter, elle vit chez un gigolo qui a de sérieux problèmes de drogue. Un jour, elle rencontre dans la rue une grand mère qui plante des fleurs. A son contact, elle va remettre sa vie en question. Pour sauver Yoshiyuki, le fils adoptif de la vieille dame atteint d'une maladie du coeur, elle va vouloir gagner de l'argent, mais cette fois sans vendre son corps ...
Dans la deuxième partie, c'est Yoshiyuki le personnage principal. On le retrouve quelques années plus tard, travaillant dans un club d'hotes.
Comme vous l'aurez compris, voilà encore une histoire qui n'est pas gaie du tout. Les thèmes abordés sont durs, prostitution, drogue, maladie ... ce qui ne met pas toujours à l'aise, en partie à cause des dessins assez crus, malgré le trait très shojo.
Pour ma part, j'ai été captivée dès le premier chapitre. A la base, le titre ne me parlait pas du tout, je m'attendais à un truc super niais à vrai dire. Puis le résumé m'a plu et je suis vraiment contente de l'avoir lu. On s'attache assez vite à la perso en espérant de tout coeur qu'elle s'en sorte. Pourtant, les catastrophes s'enchainent, pas un moment de répit. Le rythme est certes bien soutenu, mais j'avoue que par moment, c'est un peu too much, un peu comme si l'auteur passait ses nerfs sur les persos.
Dans le cas contraire, passez simplement votre chemin, tout ce que ça pourra vous faire, ce serai vous sapper le moral.
Dernière édition par hae le Dim 28 Oct 2012 - 18:43, édité 1 fois