Depuis ce week-end et surtout depuis avant-hier, c’est un climat de guerre civile qui souffle sur la Grèce et surtout sur Athènes.
Comme dans les pays qui se révoltent depuis des mois contre leur dictateur, la Grèce monte au créneau pour faire entendre sa colère et une voix que l’on refuse d’entendre. Alors ce sont les coups, les jets de projectiles divers et variés, les cris, les incendies, le saccage… Et pourtant ces images relayées hier soir par nos minables petits JT trop arrogants ne sont pas celles des pays arabes en guerre contre leur armée et leur chef mais bien celles d’un pays au bord de l’explosion économique et sociale. Est-ce moi ou le non sens de ces réformes démentielles est aberrant ?
Le gouvernement Grec s’engage donc au nom d’une dictature économique nommée Europe à saigner à blanc des gens qui n’ont déjà plus rien à donner dans le seul est unique but d’obtenir un nouveau prêt de la part des hautes instances européennes…
Prendre de l’argent dans les poches vides pour avoir l’autorisation de remplir des caisses vides… Et tout cet argent va où au final ? Normalement, en toute logique, il devrait servir à renflouer une économie vacillante et aider Mr Tout le monde Grec… Alors pourquoi demander à ce Mr Tout le monde Grec de vider ses poches vides avant ?
Sûr que la Grèce est devenue otage de l’Union Européenne car si elle est mise dehors ou quitte le groupe sanguinaire, elle reviendra à sa monnaie qui sera si pauvre qu’acheter même des denrées élémentaires lui sera impossible. Exsangue et pour longtemps, pourquoi la Grèce ne passe t-elle pas à la caisse les gros fortunés de son pays ? Les armateurs sont les plus puissants et les plus riches, ils n’ont jamais payé d’impôt et n’en paient toujours pas alors que tout ce qui fait la vie économique et sociale du pays sombre bel et bien dans le fol espoir de remonter une pente trop raide.
A la répression dictatoriale sanglante endurée par les Syriens qui ne lâchent pas le morceau, on ne peut que trouver un parallèle dangereux avec ce qui est imposé au peuple Grec sous le couvert de fausses promesses d’un « faites un effort, demain ça ira mieux ! », refrain tant et tant entendu que tous les habitants de l’Union Européenne le connaissent par cœur et en cauchemardent la nuit. Coups, matraquages, lacrymogènes, emprisonnements… Des images indignent des pays qui s’enorgueillissent de donner des leçons de moralité à leurs voisins.
Et pendant ce temps… En France… Il neige !
Comme dans les pays qui se révoltent depuis des mois contre leur dictateur, la Grèce monte au créneau pour faire entendre sa colère et une voix que l’on refuse d’entendre. Alors ce sont les coups, les jets de projectiles divers et variés, les cris, les incendies, le saccage… Et pourtant ces images relayées hier soir par nos minables petits JT trop arrogants ne sont pas celles des pays arabes en guerre contre leur armée et leur chef mais bien celles d’un pays au bord de l’explosion économique et sociale. Est-ce moi ou le non sens de ces réformes démentielles est aberrant ?
Le gouvernement Grec s’engage donc au nom d’une dictature économique nommée Europe à saigner à blanc des gens qui n’ont déjà plus rien à donner dans le seul est unique but d’obtenir un nouveau prêt de la part des hautes instances européennes…
Prendre de l’argent dans les poches vides pour avoir l’autorisation de remplir des caisses vides… Et tout cet argent va où au final ? Normalement, en toute logique, il devrait servir à renflouer une économie vacillante et aider Mr Tout le monde Grec… Alors pourquoi demander à ce Mr Tout le monde Grec de vider ses poches vides avant ?
Sûr que la Grèce est devenue otage de l’Union Européenne car si elle est mise dehors ou quitte le groupe sanguinaire, elle reviendra à sa monnaie qui sera si pauvre qu’acheter même des denrées élémentaires lui sera impossible. Exsangue et pour longtemps, pourquoi la Grèce ne passe t-elle pas à la caisse les gros fortunés de son pays ? Les armateurs sont les plus puissants et les plus riches, ils n’ont jamais payé d’impôt et n’en paient toujours pas alors que tout ce qui fait la vie économique et sociale du pays sombre bel et bien dans le fol espoir de remonter une pente trop raide.
A la répression dictatoriale sanglante endurée par les Syriens qui ne lâchent pas le morceau, on ne peut que trouver un parallèle dangereux avec ce qui est imposé au peuple Grec sous le couvert de fausses promesses d’un « faites un effort, demain ça ira mieux ! », refrain tant et tant entendu que tous les habitants de l’Union Européenne le connaissent par cœur et en cauchemardent la nuit. Coups, matraquages, lacrymogènes, emprisonnements… Des images indignent des pays qui s’enorgueillissent de donner des leçons de moralité à leurs voisins.
Et pendant ce temps… En France… Il neige !