Gta 5
La série GTA revient jouer les perturbateurs à quelques semaines de la sortie des consoles de Sony et Microsoft. Ce cinquième volet était attendu depuis fort longtemps et le concepteur a essayé de coller à la réalité économique et sociale en nous proposant un jeu totalement barré, ici pas de bonnes fées mais les ennuis bien réelles comme le stress, la difficulté de gérer sa petite famille, trouver un emploi, bref, welcome à la dure réalité.
Rockstar nous dévoile un rêve américain, loin des clichés habituels avec la vie facile, ici tout se paye à la sueur de votre front.*
Trois individus pour un seul soft
Pour la première fois dans un GTA, nous avons droit, non à un protagoniste, mais bien à trois personnages principaux. Le premier s’appelle Michael. C’est un vétéran du braquage de banques à la retraite, mais que la vie rangée à laquelle il avait toujours aspiré ne sied finalement pas tant que ça. Le second est le jeune Franklin, un ancien bandit à moitié repenti. Il récupère les voitures de son patron concessionnaire lorsque les clients ne peuvent plus les payer et qu’ils ne veulent pas les rendre. Le troisième se prénomme Trevor. C’est la tête brûlée lunatique et toxicomane du trio. Il vit selon ses propres règles et n’est autre qu’un ancien complice de Michael. Trois personnages, oui, mais pour quels atouts me direz-vous ?
Vos atouts consistent notamment à passer de l’un à l’autre en cours de mission afin d’exploiter au mieux les compétences de chacun et surtout, de ne rien rater de l’action. Vous pouvez également changer de personnages lorsque vous n’êtes pas en mission pour découvrir, à vos risques et périls, ce que les deux autres font de leur train-train quotidien. La narration se développe de la sorte en un portrait croisé qui fournit différents points de vue.
Red Dead, un prémice à GTA
Le jeu prenant le far West pour décor, j’ai nommé Red Dead Redemption ; ce dernier était considéré plus ou moins comme une suite à GTA 4 d’après le public. Pourtant, nous avions eu un jeu vraiment magnifique avec une ambiance totalement unique que seuls les programmeurs de Rockstar pouvaient engendrer.
GTA V va vous faire perdre la tête avec ses graphismes léchés. La technique est au rendez-vous et nous offre la Californie dans toute sa splendeur et sa caricature : urbanisme débridé, montagnes, boutiques de luxe, océans, zones commerciales, nature sauvage, décadence urbaine, coins de paradis perdus, etc. Vous aurez bien entendu un scénario à suivre et vous aurez plusieurs manières d’aborder votre aventure. Comptez au moins une vingtaine d’heures pour arriver au générique de fin.
Vos innombrables balades dans les rues de Los Santos vous laissent quant à elles libre d’aider les badauds dans le besoin ou de les regarder se débrouiller. Et lorsque vous ressentez le besoin de vous retirer de vos missions afin de vous détendre, vous découvrez une pléiade de loisirs parmi lesquels le sport comme le golf ou la course à vélo, la plongée sous-marine, la chasse, le saut en parachute, le yoga, la rencontre d’énergumènes aussi appelés citoyens et l’indémodable achat de vêtements.
A l’instar de l’achat de boutiques et de propriétés dans Saints Row, le faux concurrent de GTA, vous pouvez vous assurer de revenus réguliers en investissant dans l’immobilier, la vente de voitures de luxe ou autre.
Une belle aventure
Vos héros peuvent réaliser de nombreuses missions outre la quête principale, vous rencontrez quelques belles séquences comme l’assistance d’un Paparazzi où vous devez photographier une jouvencelle qui se prétend avoir sa pureté ; ou bien dépanner la junkie qui sollicite vos services pour rouler avec une dépanneuse, quelle drôle d’idée !
GTA V sera sans doute une valeur sûre au fil des mois et depuis le mois d’octobre dernier, un mode en ligne a été intégré afin de rallonger la durée de vie. Pour plus d’autres renseignements, je vous invite à consulter le test de Silankh. Alors, envie de replonger dans la GTA mania ?
A suivre :
Test GTA V de Silankh
La série GTA revient jouer les perturbateurs à quelques semaines de la sortie des consoles de Sony et Microsoft. Ce cinquième volet était attendu depuis fort longtemps et le concepteur a essayé de coller à la réalité économique et sociale en nous proposant un jeu totalement barré, ici pas de bonnes fées mais les ennuis bien réelles comme le stress, la difficulté de gérer sa petite famille, trouver un emploi, bref, welcome à la dure réalité.
Rockstar nous dévoile un rêve américain, loin des clichés habituels avec la vie facile, ici tout se paye à la sueur de votre front.*
Trois individus pour un seul soft
Pour la première fois dans un GTA, nous avons droit, non à un protagoniste, mais bien à trois personnages principaux. Le premier s’appelle Michael. C’est un vétéran du braquage de banques à la retraite, mais que la vie rangée à laquelle il avait toujours aspiré ne sied finalement pas tant que ça. Le second est le jeune Franklin, un ancien bandit à moitié repenti. Il récupère les voitures de son patron concessionnaire lorsque les clients ne peuvent plus les payer et qu’ils ne veulent pas les rendre. Le troisième se prénomme Trevor. C’est la tête brûlée lunatique et toxicomane du trio. Il vit selon ses propres règles et n’est autre qu’un ancien complice de Michael. Trois personnages, oui, mais pour quels atouts me direz-vous ?
Vos atouts consistent notamment à passer de l’un à l’autre en cours de mission afin d’exploiter au mieux les compétences de chacun et surtout, de ne rien rater de l’action. Vous pouvez également changer de personnages lorsque vous n’êtes pas en mission pour découvrir, à vos risques et périls, ce que les deux autres font de leur train-train quotidien. La narration se développe de la sorte en un portrait croisé qui fournit différents points de vue.
Red Dead, un prémice à GTA
Le jeu prenant le far West pour décor, j’ai nommé Red Dead Redemption ; ce dernier était considéré plus ou moins comme une suite à GTA 4 d’après le public. Pourtant, nous avions eu un jeu vraiment magnifique avec une ambiance totalement unique que seuls les programmeurs de Rockstar pouvaient engendrer.
GTA V va vous faire perdre la tête avec ses graphismes léchés. La technique est au rendez-vous et nous offre la Californie dans toute sa splendeur et sa caricature : urbanisme débridé, montagnes, boutiques de luxe, océans, zones commerciales, nature sauvage, décadence urbaine, coins de paradis perdus, etc. Vous aurez bien entendu un scénario à suivre et vous aurez plusieurs manières d’aborder votre aventure. Comptez au moins une vingtaine d’heures pour arriver au générique de fin.
Vos innombrables balades dans les rues de Los Santos vous laissent quant à elles libre d’aider les badauds dans le besoin ou de les regarder se débrouiller. Et lorsque vous ressentez le besoin de vous retirer de vos missions afin de vous détendre, vous découvrez une pléiade de loisirs parmi lesquels le sport comme le golf ou la course à vélo, la plongée sous-marine, la chasse, le saut en parachute, le yoga, la rencontre d’énergumènes aussi appelés citoyens et l’indémodable achat de vêtements.
A l’instar de l’achat de boutiques et de propriétés dans Saints Row, le faux concurrent de GTA, vous pouvez vous assurer de revenus réguliers en investissant dans l’immobilier, la vente de voitures de luxe ou autre.
Une belle aventure
Vos héros peuvent réaliser de nombreuses missions outre la quête principale, vous rencontrez quelques belles séquences comme l’assistance d’un Paparazzi où vous devez photographier une jouvencelle qui se prétend avoir sa pureté ; ou bien dépanner la junkie qui sollicite vos services pour rouler avec une dépanneuse, quelle drôle d’idée !
GTA V sera sans doute une valeur sûre au fil des mois et depuis le mois d’octobre dernier, un mode en ligne a été intégré afin de rallonger la durée de vie. Pour plus d’autres renseignements, je vous invite à consulter le test de Silankh. Alors, envie de replonger dans la GTA mania ?
A suivre :
Test GTA V de Silankh