Salut à toute la Vallée !!!
préambule de l'auteur :
"Cher petit vallée-ien (au plur. : vaux-riens), j'ai constaté sur les forums que tu pratiques l'usage de certaines abréviations. Aussi, pour relever le niveau de vocabulaire de la Vallée, ai-je décidé de parsemer mon test de références idiomatiques qui feront la joie des petits et des grands."
En ce moment je suis très "ninja" sur DS.
D'abord avec Ninja Reflex (allez donc voir ce superbe test réalisé par un type vraiment génial dont la verve verbale se dispute à un esprit critique exceptionnellement logorrhéique!!!!!!) et ensuite avec Ninja Gaiden : Dragon Sword (que je vais surnommer en accord avec moi-même : NGDS).
Titre : Ninja Gaiden : Dragon Sword
Titre original : Ninja Gaiden : Dragon Sword
Genre : Action-aventure
date de sortie :
27 juin 2008
25 mars 2008
20 mars 2008
developpeur : Team Ninja
éditeur : Tecmo
1 joueur
Je précise, à l'attention des éventuels Aliens qui viennent de débarquer sur notre belle planète bleue, que la série Ninja Gaiden existe depuis 1988, et a sévit sur de nombreuses consoles avec 8 épisodes et quelques reprises.
(cette information vous est délivrée par le Comité d'Acceuil Touristique à l'Attention des Petits Hommes Gris, Verts, Rouges (et pas mûrs) dans le but de souligner l'apport culturel de la Terre dans l'univers afin d'éviter la désintégration totale de notre belle planète)
Alors quid (dic. : pronom interrogatif latin signifiant "quoi ?") de NGDS sur nintendo DS ?
Le Scénario :
Inutile de s'étendre sur l'histoire car de toute évidence, le scénario à été pondu par un pauvre hère (dic. : jeune cerf ou jeune daim qui n'a pas encore ses premiers bois) en mal d'inspiration, un jour où, constatant l'échec irrémédiable de ses tentatives de créer LE scénario ultime, il s'est avachit en pleurant sous son poster fétiche de Tom Clancy.
Il faut dire que c'est difficile d'innover dans le manichéisme (dic. : doctrine religieuse de Manés..... ça vous fait une belle jambe) alors, encore une fois, le héros (toujours : Ruy Hayabusa) va devoir sauver la fille, le village et le monde entier contre l'arrivée du mal.
Je sais : c'est maigre comme trame scénaristique !
La Jouabilité :
Avec un scénario aussi passionnant qu'une feuille d'impôt laissée par mégarde à côté de la lunette des toilettes un jour de manque de papier hygiénique, il fallait bien compenser !!!
Pour commencer, NGDS se joue en tenant sa DS à la verticale :
L'écran de gauche nous montre la carte, celui de droite (tactile) permet à la fois de voir l'action et de faire bouger son personnage.
Ce système est original pour un jeu d'action qui frise le shoot-em up.
Autre originalité pas d'utilisation des boutons :
-pointer et maintenir le stylet permet de déplacer Ryu
-tapoter pour tirer à l'arc ou lancer des shuriken
-glisser de gauche à droite (et vice-versa) sur un adversaire pour porter un coup horizontal
-glisser de haut en bas pour un coup vertical
-glisser de bas en haut pour sauter
-appuyer sur la croix pour effectuer une parade
-croix plus pointer à gauche ou droite pour esquiver
Voilà pour la liste des coups de base. Il y a aussi des enchainement pour effectuer des séries de combos, air-combos et doubles sauts.
La jouabilité utilise bien la sensibilité de l'écran tactile de la DS et permet facilement des actions rapides et précises à admirer ici :
lien
Les actions sont complétées par des coups spéciaux qui se déclenchent en traçant des symboles sur l'écran pour lancer des tornades, boules de feu, boules de glace (pour moi : fraise et chocolat), éclairs (aussi au chocolat) et autres effets lumineux !!!
Seul petit bémol à la jouabilité :
sur les tableaux où il y a peu de monstres, il est possible de jouer avec finesse et de profiter du large éventail de coups, mais dès que les monstres sont plus nombreux il s'avère plus pratique d'utiliser les coups de bases et les coups sautés car ils sont plus rapides et plus faciles à éxecuter.
Les niveaux sont divisés en zones :
-les zones de sauvegardes qui sont exemptes de montres
-les zones de combat que l'on peut traverser en esquivant les monstres
-les zones bloquées que le ne peut traverser qu'à la condition d'avoir expurgé tout mal du lieu (dic. : buter tout le monde)
-les zones de boss : des dragons titanesques à émincer et transformer en hachis parmentier (dic. : Antoine Augustin Parmentier, 17/08/1737 - 17/12/1813).
Chaque adversaire tué rapporte des points de Karma et de l'or.
Le karma permet de quantifier le niveau du joueur et l'or permet d'acheter des items : nouveaux pouvoir, amélioration des armes (katana, arcs), de la santé......
Le Graphisme :
Encore un bon point puisque le jeu bénéficie d'un très bon niveau de finition des graphismes : les environnements sont variés (bois, cavernes, temples, lieux maudits, volcan, village.....)
Chaque environnement possède sa propre ambiance sonore qui permet une meilleure immersion.
La qualité graphique permet une grande lisibilité des mouvements et une identification des adversaires qui peut s'avérer cruciale dans les affrontements avec de multiples adversaires.
Egalement un très bon carac-design avec des adversaires originaux (surtout les boss monumentaux).
Et encore un bon point pour les cinématiques et scènes d'introduction des personnages.
Chaque cinématique se présente sous forme de BD avec des images fixes qui bénéficient d'une bonne qualité.
Exemple :
ci-dessous : héroïne (Momiji) qui se fait capturer.
ci-dessous : méchante qui se gausse de l'enlèvement de la pauvre Momiji.
ci-dessous : Héro se rendant compte de l'enlèvement de Momiji et qui décide en son fort intérieur d'aller pourrir la vie de la méchante qui se gausse, parce-que c'est pas tout ça mais il faudrait voir à voir et que rira bien qui rira le dernier (poil aux ramens sautées).
En Conclusion :
scénario : passable
jouabilité : EXCELLENT : originale et bien pensée
graphismes : EXCELLENT : bôôôô
musique : bien et pas prise de tête
ambiance : très immersive
durée de vie : un peu courte (jeu de base fini en environ 15-20h - niveau normal)
En bref, Ninja Gaiden : Dragon Sword est un très bon jeu qui permet une nouvelle approche du genre, agréable autant pour les puristes qui peuvent chercher LE mouvement ultime que pour les néophytes (dic. : nom donné anciennement dans l'Eglise aux nouveaux chrétiens) un peu brouillons qui aiment se fouler le poignet en zébrant l'écran tactile de la DS de grands gestes ravageurs.
A noter que les 2 styles de jeux sont possibles, voire (dic. : et même) conseillés.
épilogue de l'auteur :
"Et voilà, cher petit vallée-ien (plur. : vaux-riens ....... j'aime ce gag), j'espère de tout coeur que ce test aura su faire frémir en toi l'amour des belles lettres, le plaisir émoustillant du savoir et la joie incommensurable de pratiquer la sublime langue de Molière.
Au revoir et à bientôt !"
préambule de l'auteur :
"Cher petit vallée-ien (au plur. : vaux-riens), j'ai constaté sur les forums que tu pratiques l'usage de certaines abréviations. Aussi, pour relever le niveau de vocabulaire de la Vallée, ai-je décidé de parsemer mon test de références idiomatiques qui feront la joie des petits et des grands."
En ce moment je suis très "ninja" sur DS.
D'abord avec Ninja Reflex (allez donc voir ce superbe test réalisé par un type vraiment génial dont la verve verbale se dispute à un esprit critique exceptionnellement logorrhéique!!!!!!) et ensuite avec Ninja Gaiden : Dragon Sword (que je vais surnommer en accord avec moi-même : NGDS).
Titre : Ninja Gaiden : Dragon Sword
Titre original : Ninja Gaiden : Dragon Sword
Genre : Action-aventure
date de sortie :
27 juin 2008 25 mars 2008 20 mars 2008developpeur : Team Ninja
éditeur : Tecmo
1 joueur
Je précise, à l'attention des éventuels Aliens qui viennent de débarquer sur notre belle planète bleue, que la série Ninja Gaiden existe depuis 1988, et a sévit sur de nombreuses consoles avec 8 épisodes et quelques reprises.
(cette information vous est délivrée par le Comité d'Acceuil Touristique à l'Attention des Petits Hommes Gris, Verts, Rouges (et pas mûrs) dans le but de souligner l'apport culturel de la Terre dans l'univers afin d'éviter la désintégration totale de notre belle planète)
Alors quid (dic. : pronom interrogatif latin signifiant "quoi ?") de NGDS sur nintendo DS ?
Le Scénario :
Inutile de s'étendre sur l'histoire car de toute évidence, le scénario à été pondu par un pauvre hère (dic. : jeune cerf ou jeune daim qui n'a pas encore ses premiers bois) en mal d'inspiration, un jour où, constatant l'échec irrémédiable de ses tentatives de créer LE scénario ultime, il s'est avachit en pleurant sous son poster fétiche de Tom Clancy.
Il faut dire que c'est difficile d'innover dans le manichéisme (dic. : doctrine religieuse de Manés..... ça vous fait une belle jambe) alors, encore une fois, le héros (toujours : Ruy Hayabusa) va devoir sauver la fille, le village et le monde entier contre l'arrivée du mal.
Je sais : c'est maigre comme trame scénaristique !
La Jouabilité :
Avec un scénario aussi passionnant qu'une feuille d'impôt laissée par mégarde à côté de la lunette des toilettes un jour de manque de papier hygiénique, il fallait bien compenser !!!
Pour commencer, NGDS se joue en tenant sa DS à la verticale :
L'écran de gauche nous montre la carte, celui de droite (tactile) permet à la fois de voir l'action et de faire bouger son personnage.
Ce système est original pour un jeu d'action qui frise le shoot-em up.
Autre originalité pas d'utilisation des boutons :
-pointer et maintenir le stylet permet de déplacer Ryu
-tapoter pour tirer à l'arc ou lancer des shuriken
-glisser de gauche à droite (et vice-versa) sur un adversaire pour porter un coup horizontal
-glisser de haut en bas pour un coup vertical
-glisser de bas en haut pour sauter
-appuyer sur la croix pour effectuer une parade
-croix plus pointer à gauche ou droite pour esquiver
Voilà pour la liste des coups de base. Il y a aussi des enchainement pour effectuer des séries de combos, air-combos et doubles sauts.
La jouabilité utilise bien la sensibilité de l'écran tactile de la DS et permet facilement des actions rapides et précises à admirer ici :
lien
Les actions sont complétées par des coups spéciaux qui se déclenchent en traçant des symboles sur l'écran pour lancer des tornades, boules de feu, boules de glace (pour moi : fraise et chocolat), éclairs (aussi au chocolat) et autres effets lumineux !!!
Seul petit bémol à la jouabilité :
sur les tableaux où il y a peu de monstres, il est possible de jouer avec finesse et de profiter du large éventail de coups, mais dès que les monstres sont plus nombreux il s'avère plus pratique d'utiliser les coups de bases et les coups sautés car ils sont plus rapides et plus faciles à éxecuter.
Les niveaux sont divisés en zones :
-les zones de sauvegardes qui sont exemptes de montres
-les zones de combat que l'on peut traverser en esquivant les monstres
-les zones bloquées que le ne peut traverser qu'à la condition d'avoir expurgé tout mal du lieu (dic. : buter tout le monde)
-les zones de boss : des dragons titanesques à émincer et transformer en hachis parmentier (dic. : Antoine Augustin Parmentier, 17/08/1737 - 17/12/1813).
Chaque adversaire tué rapporte des points de Karma et de l'or.
Le karma permet de quantifier le niveau du joueur et l'or permet d'acheter des items : nouveaux pouvoir, amélioration des armes (katana, arcs), de la santé......
Le Graphisme :
Encore un bon point puisque le jeu bénéficie d'un très bon niveau de finition des graphismes : les environnements sont variés (bois, cavernes, temples, lieux maudits, volcan, village.....)
Chaque environnement possède sa propre ambiance sonore qui permet une meilleure immersion.
La qualité graphique permet une grande lisibilité des mouvements et une identification des adversaires qui peut s'avérer cruciale dans les affrontements avec de multiples adversaires.
Egalement un très bon carac-design avec des adversaires originaux (surtout les boss monumentaux).
Et encore un bon point pour les cinématiques et scènes d'introduction des personnages.
Chaque cinématique se présente sous forme de BD avec des images fixes qui bénéficient d'une bonne qualité.
Exemple :
ci-dessous : héroïne (Momiji) qui se fait capturer.
ci-dessous : méchante qui se gausse de l'enlèvement de la pauvre Momiji.
ci-dessous : Héro se rendant compte de l'enlèvement de Momiji et qui décide en son fort intérieur d'aller pourrir la vie de la méchante qui se gausse, parce-que c'est pas tout ça mais il faudrait voir à voir et que rira bien qui rira le dernier (poil aux ramens sautées).
En Conclusion :
scénario : passable
jouabilité : EXCELLENT : originale et bien pensée
graphismes : EXCELLENT : bôôôô
musique : bien et pas prise de tête
ambiance : très immersive
durée de vie : un peu courte (jeu de base fini en environ 15-20h - niveau normal)
En bref, Ninja Gaiden : Dragon Sword est un très bon jeu qui permet une nouvelle approche du genre, agréable autant pour les puristes qui peuvent chercher LE mouvement ultime que pour les néophytes (dic. : nom donné anciennement dans l'Eglise aux nouveaux chrétiens) un peu brouillons qui aiment se fouler le poignet en zébrant l'écran tactile de la DS de grands gestes ravageurs.
A noter que les 2 styles de jeux sont possibles, voire (dic. : et même) conseillés.
épilogue de l'auteur :
"Et voilà, cher petit vallée-ien (plur. : vaux-riens ....... j'aime ce gag), j'espère de tout coeur que ce test aura su faire frémir en toi l'amour des belles lettres, le plaisir émoustillant du savoir et la joie incommensurable de pratiquer la sublime langue de Molière.
Au revoir et à bientôt !"
