Il ne s'agit pas d'un débat à proprement parlé mais au moins il amènera à en faire un.
La science-fiction (voir def) ou plutôt le genre de l'anticipation perds peu à peu sa force. Notre société se modernise bien plus vite que l'on ne le pense. Par exempel internet existe depuis les années 50 et, à la base est un système de communication militaire qui est passer dans le civil, pour lem eilleur et pour le pire. Pour celui qui ne s'iinteresse pas à la technologie il est difficile de savori précisémement où notre société se situe sur l'axe temporel du progrès, mais c'est aussi le cas pour les connaisseurs. Le monde se développe vite, trop vite l'homme finira dépassé par les réalisations.
Asimov, le père du "grand livre sur les robots" qui énonça les trois lois de la robotique doit se retourner dans sa tombe quand il voit que les robots prennent formes humaines (pour les raisons il s'agit d'un autre sujet plus philosophique) et sont capable de se reproduire entre eux. Orwell, auteur de 1984, lui aussi se retourne dans sa tombe quand on voit la place grandissante que prennent les caméras de surveillances et de manières générales les listes de rensignements à l'image de la carte de la sécurité sociale où chaque individu est clairement identifié par un numéro à vie, les fichiers génétiques dans lesquels le génome est répertorié, les écoutes téléphoniques, etc
Les différentes créations traitant de la sicence-fiction baignant dans le genre de l'anticipation font pâles figures face à ce que devient peu à peu notre société. Au menu des clichés, je vous présente le plus utilisé : un monde uni sous une même bannière dirigé par des multinationales où l'homme n'est plus qu'un objet. Mais n'est ce pas déjà le cas? L'homme n'est qu'un objet consommateur et consommable. Le monde tourne autour de l'économie du marché et des bourses et le moindre problème est un battement d'aile de papillon qui, à l'autre bout de la planète se tranforme en cyclone. L'homme ne doit sa survie qu'au bon vouloir des multinationales qui régulent les bourses. aujourd'hui il n'est pas concevable de vivre dans un monde sans bourse.
Au nom de la sécurité, les différents gouvernement mettent en place une politique desurveillance de la population grâce à différent moyen commes les caméras ou bien encore les drônes militaires qui pourrait passer être utilisé à des fins civile pour surveiller les rues. Derniere trouvaille en date, des ingénieurs ont réussi à implanté des électrodes dnas des animaux afin de les téléguides tels des cyborgs, animaux dont le but avoué est de les utilisé pour des misions militiares de surveillances mais rcela deviendra forcément comme le reste adpaté au civil.
La science-fiction est rattrappé par le réel et je oute que l'on puisse changer la donne
La science-fiction (voir def) ou plutôt le genre de l'anticipation perds peu à peu sa force. Notre société se modernise bien plus vite que l'on ne le pense. Par exempel internet existe depuis les années 50 et, à la base est un système de communication militaire qui est passer dans le civil, pour lem eilleur et pour le pire. Pour celui qui ne s'iinteresse pas à la technologie il est difficile de savori précisémement où notre société se situe sur l'axe temporel du progrès, mais c'est aussi le cas pour les connaisseurs. Le monde se développe vite, trop vite l'homme finira dépassé par les réalisations.
Asimov, le père du "grand livre sur les robots" qui énonça les trois lois de la robotique doit se retourner dans sa tombe quand il voit que les robots prennent formes humaines (pour les raisons il s'agit d'un autre sujet plus philosophique) et sont capable de se reproduire entre eux. Orwell, auteur de 1984, lui aussi se retourne dans sa tombe quand on voit la place grandissante que prennent les caméras de surveillances et de manières générales les listes de rensignements à l'image de la carte de la sécurité sociale où chaque individu est clairement identifié par un numéro à vie, les fichiers génétiques dans lesquels le génome est répertorié, les écoutes téléphoniques, etc
Les différentes créations traitant de la sicence-fiction baignant dans le genre de l'anticipation font pâles figures face à ce que devient peu à peu notre société. Au menu des clichés, je vous présente le plus utilisé : un monde uni sous une même bannière dirigé par des multinationales où l'homme n'est plus qu'un objet. Mais n'est ce pas déjà le cas? L'homme n'est qu'un objet consommateur et consommable. Le monde tourne autour de l'économie du marché et des bourses et le moindre problème est un battement d'aile de papillon qui, à l'autre bout de la planète se tranforme en cyclone. L'homme ne doit sa survie qu'au bon vouloir des multinationales qui régulent les bourses. aujourd'hui il n'est pas concevable de vivre dans un monde sans bourse.
Au nom de la sécurité, les différents gouvernement mettent en place une politique desurveillance de la population grâce à différent moyen commes les caméras ou bien encore les drônes militaires qui pourrait passer être utilisé à des fins civile pour surveiller les rues. Derniere trouvaille en date, des ingénieurs ont réussi à implanté des électrodes dnas des animaux afin de les téléguides tels des cyborgs, animaux dont le but avoué est de les utilisé pour des misions militiares de surveillances mais rcela deviendra forcément comme le reste adpaté au civil.
La science-fiction est rattrappé par le réel et je oute que l'on puisse changer la donne