Je sais qu'il existe déjà une fiche sur ce manga mais comme elle est succincte, j'en rajoute un peu dans le détail (fiches mixées ensuite sur le site, si bien sûr ça ne vexe pas @Vanille ^_^)
Titre : MPD Psycho - Psycho détective schizophrène
Titre Original : Tajûjin Kakutantei Psycho
Auteurs : Eiji Otsuka (scénario) , Sho-u Tajima (dessins)
Genre : seinen, thriller, suspense.
Editeur français : Pika
Nombre volumes français : 13
Nombre de volumes japonais : 13 (en cours)
Titre : MPD Psycho - Psycho détective schizophrène
Titre Original : Tajûjin Kakutantei Psycho
Auteurs : Eiji Otsuka (scénario) , Sho-u Tajima (dessins)
Genre : seinen, thriller, suspense.
Editeur français : Pika
Nombre volumes français : 13
Nombre de volumes japonais : 13 (en cours)
Resumé.
Yosuke Kobayashi est policier et traque depuis quelques temps un serial killer qui démembre ses victimes. La mission est déjà rude mais elle bascule dans l'horreur pour Kobayashi lorsqu'il découvre le torse de sa petite amie dans une glacière : la jeune femme a été démembrée mais elle est artificiellement maintenue en vie dans cet état monstrueux. Enragé, Kobayashi finit par retrouver le déséquilibré responsable de ce carnage mais une chose étrange se produit... Alors qu'il tient le criminel en joue, il change complètement d'attitude et le tue ! A son procès, il plède que Yosuke Kobayashi est à présent mort et qu'il se nomme maintenant Amamiya Kazuhiko.
Condamné, il passe des années en prison mais quand il en sort, il est toujours convaincu d'être Amamiya et intègre un institut de criminalistique fondé par une ancienne policière du nom de Machi. Avec ses talents, Kobayashi-Amamiya devient un redoutable profileur et résoud nombre d'enquêtes. Pourtant, au fil du temps, il va devoir cohabiter avec un autre personnage. En effet, sous le masque avenant d'Amamiya se cache une troisème identité, celle d'un psychopathe répondant au nom de Shinji Nishizono !
Kobayashi ne revient jamais à la surface et Amamiya se partage son corps avec Nishizono alors que leurs personnalités sont totalement opposées : le premier est un bon policier, a soif de justice, est presque sympathique tandis que le second est sombre, inquiétant et dangereux... Mais quelle que soit sa réelle identité, ce policier schizophrène va découvrir qu'il n'est pas si différent de ceux qu'il traque. Tous les criminels qu'il retrouve au fil du temps ont un code barre imprimé sur l'oeil gauche... tout comme lui !
Avis.
Âmes sensibles s'abstenir !
MPD Psycho est digne des plus grands thrillers hollywoodiens tant par sa densité dramatique que par la portée psychologique de son contenu. Suite à un traumatisme, le héros se laisse envahir par des identités qui s'avèrent assez familières de son enfance, de ses souvenirs et on sent que l'on glisse doucement vers une fin qui promet de surprendre plus encore que les aventures qu'il assume tout au long des tomes de cette histoire étonnante. Ce manga renouvelle le genre plus encore que d'autres et de manière totalement différente car il s'adresse avant tout à un public adulte. Les enquêtes, les crimes sont sanglants, empreints d'un réalisme terrifiant qui vous ferait presque peur au point de souhaiter rester cloîtrer chez soi jusqu'à ce que le monde devienne plus sûr !
Enlevé par un graphisme lisse, clair, assez fin même qui transgresse avec la noirceur de l'histoire, "MPD Psycho" est à lire si on a aimé les films tels que "Le silence des Agneaux" ou encore "Seven"... A ne pas lire la nuit !
Yosuke Kobayashi est policier et traque depuis quelques temps un serial killer qui démembre ses victimes. La mission est déjà rude mais elle bascule dans l'horreur pour Kobayashi lorsqu'il découvre le torse de sa petite amie dans une glacière : la jeune femme a été démembrée mais elle est artificiellement maintenue en vie dans cet état monstrueux. Enragé, Kobayashi finit par retrouver le déséquilibré responsable de ce carnage mais une chose étrange se produit... Alors qu'il tient le criminel en joue, il change complètement d'attitude et le tue ! A son procès, il plède que Yosuke Kobayashi est à présent mort et qu'il se nomme maintenant Amamiya Kazuhiko.
Condamné, il passe des années en prison mais quand il en sort, il est toujours convaincu d'être Amamiya et intègre un institut de criminalistique fondé par une ancienne policière du nom de Machi. Avec ses talents, Kobayashi-Amamiya devient un redoutable profileur et résoud nombre d'enquêtes. Pourtant, au fil du temps, il va devoir cohabiter avec un autre personnage. En effet, sous le masque avenant d'Amamiya se cache une troisème identité, celle d'un psychopathe répondant au nom de Shinji Nishizono !
Kobayashi ne revient jamais à la surface et Amamiya se partage son corps avec Nishizono alors que leurs personnalités sont totalement opposées : le premier est un bon policier, a soif de justice, est presque sympathique tandis que le second est sombre, inquiétant et dangereux... Mais quelle que soit sa réelle identité, ce policier schizophrène va découvrir qu'il n'est pas si différent de ceux qu'il traque. Tous les criminels qu'il retrouve au fil du temps ont un code barre imprimé sur l'oeil gauche... tout comme lui !
Avis.
Âmes sensibles s'abstenir !
MPD Psycho est digne des plus grands thrillers hollywoodiens tant par sa densité dramatique que par la portée psychologique de son contenu. Suite à un traumatisme, le héros se laisse envahir par des identités qui s'avèrent assez familières de son enfance, de ses souvenirs et on sent que l'on glisse doucement vers une fin qui promet de surprendre plus encore que les aventures qu'il assume tout au long des tomes de cette histoire étonnante. Ce manga renouvelle le genre plus encore que d'autres et de manière totalement différente car il s'adresse avant tout à un public adulte. Les enquêtes, les crimes sont sanglants, empreints d'un réalisme terrifiant qui vous ferait presque peur au point de souhaiter rester cloîtrer chez soi jusqu'à ce que le monde devienne plus sûr !
Enlevé par un graphisme lisse, clair, assez fin même qui transgresse avec la noirceur de l'histoire, "MPD Psycho" est à lire si on a aimé les films tels que "Le silence des Agneaux" ou encore "Seven"... A ne pas lire la nuit !