trois petits chats

Horripilé, le second prédateur ne perdit davantage de temps, et avec plus d'aisance encore attaqua l'homme, qui quoiqu'il reprit sa posture, et conserva autant que faire se peut, malgré les lacérations qu'entraînaient chacune des charges du volatile dément, sa concentration, ne parvint à toucher la créature, dont la lueur cramoisie brûlant dans son regard gagnait avec le temps en ardeur, et affichait sans le moindre doute le véritable visage de celle qui, tirant les ficelles de son mannequin aux allures de rapace, exultait en arrachant lambeaux de chair et gerbes de sang à l'individu n'ayant pour toute armure que des oripeaux et pièces de tissus misérables que de ses serres et bec l'animal entamait sans peine.

Haine était l'émotion qui prirent l'homme au plus profond de son âme et malgré la vie qui glissait de son corps au rythme du sang et de la chaire qui tombait au sol, le courageux malheureux continuait de frapper cette ombre de la mort avec un désespoir sans limite. Chacun de ses coup se faisait plus maladroit et plus lent face à la folie qui habitait le corps de son adversaire à la soif de sang ( inétenchable ?) qui, à la vue du liquide vermeil prenait plus d'ampleur, l'excitant dans son désir.

...(je n'ais pas lu toute l'histoire donc désolé si ça ne colle pas trop )

Irradiant du regard une dernière fois la bête qui la toisait depuis les iris de braise du volatile en exultant quant au sort funeste qu'elle envisageait pour l'impudent, celui-ci, lâchant un juron sous les coups de la douleur qu'il ne pouvait endiguer très longtemps à cette allure, se saisit de sa rondache, et l'appliquant devant lui, attendit que le prédateur ne commette la faute de fondre encore sur ce monceau de chair pitoyable, qui pourtant se préparait à investir dans une unique frappe toute l'énergie qui ne lui avait été arrachée par les lacérations successives de la créature, et à faire comprendre à l'entité légendaire qu'il ne laisserait pas moins sa cervelle maculer les sols de son royaume que celle de ses marionnettes serviles, mais manquant de la détermination qui aux battements de son coeur injectait à rythme effréné de l'adrénaline dans tous les membres du guerrier à la stature toujours inébranlable.

Blé et riz, voici ce que tu aura à mangé à midi !

Différent de ce qu'il aurait pu croire le malheureux, lors de l'attauque de son ennemi s'apperçue que celui ci n'avit rien d'un montre car à travers le jaune brulant de son regard, l'homme cru apperçevoir une lueur de tristesse, était ce par la perte de son compagnon ou par le regret qu'il éprouvait à devoir attaquer l'homme?

Maugréant sa réplique incohérente, tel le spectre d'un songe, la créature, dont les murmures s'échappèrent du bec de façon irréelle avec autant de sens que cela pouvait en receler, aux oreilles de l'homme, qui s'il ne le démontra fut ébranlé en son fond de ce que ce prédateur corrompu dispose du don de la parole, demeura en vol géostationnaire, dominant la proie, dont il sembla vouloir toucher le coeur en cet instant plus avec son propre Être brisé qu'avec les serres que la succube élançait vers ses muscles apparents désormais. Conservant sa posture, braquant son regard sur cet adversaire dont les yeux rougeoyaient toujours, l'individu marqua pourtant un temps d'hésitation, terré derrière son semblant d'égide, se demandant si au coeur de la folie hantant tout ce domaine jeté dans les ténèbres, dont toute créature vivante semblait frappée, il ne restait malgré tout quelque bribe de conscience muselée qui ne demandait qu'à être libérée...

Répondant à son coeur, l'homme abaissa doucement son armes et ouvri les bras à la mort qui fondait sur lui sous l'aspet d'un oiseau de proie au plume luissantes sous la lumière de l'astre de feu qui éclairait la scène lui donnant un air féérique. L'homme ferma les yeux à l'approche de la bête qui s'apperçevant de l'étrange attitude de l'humain se méfia et l'évita en décidant de l'observé afin de perçé le secret de cette nouvelle stratégie...

Un astre de feu? Le Soleil? Vu que celui-ci ne perce pas à travers les cimes des arbres (c'est ce qui rend l'endroit si lugubre et le combat si inégal, tant l'homme a du mal à apercevoir son adversaire)...

Gisant à quelques pas, l'homme lança un regard à son bâton, qu'il avait abandonné à l'instant où la créature à la volonté brimée se lança finalement à l'assaut, puis abaissant son bouclier se dressa immuable devant le prédateur, qui s'il apparaissait qu'il n'avait pu se délier des fils que faisait danser à distance la veule succube, n'en demeurait pas moins imperceptible lui-même, mesurant cet adversaire de chair flasque à vif du haut d'une branche. "Ô toi là l'esclave du rêve éternel, aveugle à la botte de la démence de la libation blême!" interpella l'impudent, faisant vibrer l'air vicié disputant à la moiteur catin ses essences de stupre et de fer, à l'attention du volatile possédé, déportant son attention alors que lentement, frôlant l'humus de pas léger, il revenait à son arme agonisant au creux de racines épaisses, jusqu'à enfin pouvoir en s'inclinant l'atteindre des doigts. "Le rite est pour les mains d'éteindre le flambeau contre le fer épais des portes du caveau..." incanta-t-il, désignant l'être du bât dont il se saisit enfin. "Retourne vers les feux du pur Soleil mortel!"

Tel un papillon alcoolique, il s'en alla en direction de Chuck Norris-Sensei...

Saignant au point que le sl à ses pieds avait changer de couleur pour de venir pourpre, l'homme leva les yeux au ciel et se remémora tout les instant de sa vie. Il se souvint de son village natal, sa femme et ses enfants qui espéraient le revoir bientôt pour la saison de la moison, et tou les choix qui l'avait mené à ce lieux précis ou tel un fleuve pourpre son sang s'échapper peu à peu le vidant de son énerge et emportant son ame dans ce flot inscessant. il baissa les yeux pour tombé dans ceux rouge feu du monstre qui se trouvait face à lui...

Chuck Norris est indisponible pour le moment, veuillez réitérer votre appel dans 138 ans.

@Hinata: se souvint.


Irritée, la Bête fit se mouvoir son réceptacle envers l'impudent, son excitation entamée par l'effort de l'humain qui tendait à réveiller la conscience enchaînée de la marionnette ailée. Poussant un déchirant piaillement, dont de part et d'autre de ce royaume nimbé d'ombre il éveilla les créatures débilitées qui y sommeillaient perdus dans un cauchemar sans fin, le faucon fendit l'air de ses ailes, quittant son perchoir de guet pour achever la loque qui jetait du fiel au visage de la succube aux doigts dorés. Mais du bâton sans prétention, brandi d'une main malgré tout ferme envers le prédateur, jaillit un ardent faisceau aux teintes bleutées, qui frappa de plein fouet la créature prise de surprise tandis qu'elle assaillait.

Ne suffisait-il que d'un sort pour défaire la malédiction? Las non, ainsi qu'en déduisit le guerrier, alors que perçant les ombres de ses yeux que le rai de lumière avaient fortement ébloui, il trouva entre deux racines nouées la créatures, en sang, dont la Bête avait dû préféré achever l'existence plutôt que de le lui laisser la chance d'échapper à ce royaume perdu dans un cauchemar éternel. L'examinant brièvement, l'homme s'assura que le prédateur avait enfin réussi à s'éveiller, cela fut-il dans un autre monde. La lumière n'avait suffit à le sauver des griffes du monstre qui l'avait éventré en premier, et aussi pourrait-il supposer qu'il en irait de même pour les éventuelles rencontres qu'il pourrait encore faire dans ces corridors de ténèbres où chaque étai sylvain pourrait abriter l'une ou l'autre des malices de cette succube légendaire dont il sentait la présence tant dans l'air lourd et moite que dans les soubresauts de la terre, réverbérant les rugissements extatiques du démon qui attendait son met au sein de son sépulcre.

Etêté empaffé.

Êtes-vous satisfaite, marquise?

Ions monoatomiques

Mickey

Kaelkael

Spoiler:

Oncologue

guetteur
@Ixidor sama : pourquoi ils ont coupé l'histoire ont sait pas ce qui va arriver au monsieur et à l'oiseau

La faute à Jarjar.

Heureux malgré tout que la créature ait pu se tirer malgré un lourd tribut de cette somnolence éternelle pour s'assoupir à jamais et rêver désormais aux voluptés immortelles, le guerrier n'accorda plus qu'un regard à la dépouille opime se fondant presque aux pieds d'un tronc pour dans peu de temps renforcer la qualité de l'humus de ses vestiges défaits, et reprit immédiatement sa marche, tâtonnant de son bât, alors qu'il peinait encore à se réhabiliter à cette obscurité brisée par le rai soudain qui jaillit tantôt de son sceptre. Désormais averti des dangers, dont il supposait que ce ne fut là qu'un des moindres auquel il fut confronté, qu'il pourrait rencontrer au fil de ses pérégrinations dans ce vestibule d'ombres, l'homme avançait prudemment, sa cape rabattu sur ses épaules, afin s'il le fallait de s'en faire une égide aussi obscure que le souffle exhalé par ces bois et l'âme de ses occupants. Evitant par deux fois des sons stridents de griffes effilées entamant un des étais de bois, l'impudent n'eut pas à cavaler longtemps, alors qu'au loin perçait d'ardentes billes aux reflets rougeâtres.

Trésillant devant ce spectacle, l'homme observa le spectacle de ces perles qui furent bientôt rejoint par une troisième masi celle-ci était teinté de jaune et semblait gagner en puissance aux fil des secondes qui défilaient, tandis que l'être qui se trouvait sans défence face à ce phénompène qu'il ne parvenait pas à comprendre continuait de l'observer. La lumière de ce joyaux ambré sembleient éffacer les deux autres perles d'un rouges sang.
@Jarjar t'es pas drole
@Ixidor sama : c'est parce qu'il ne comprend pas l'histoire

Laissant là sa course, l'homme intrigué se laissa aller à faire un pas, puis deux, avant que tétanisé sur le coup il ne fasse halte, toisant ces perles ignescentes avec circonspection, alors qu'un contour humanoïde se dessinait derrière elle dans toute l'ombre du lieu, puis que sous les lueurs sanguines ne scintillèrent deux rangées de crocs qui malgré la distance, sous les rais odieux du spectacle qu'ils offraient, apparaissaient aussi effilés que prêt à dissoudre la chair d'un coup de mâchoire. *Une gargouille* pensa-t-il, une goutte perlant silencieusement sur son visage perdu dans les ténèbres face aux incantations sepulturales qui lui faisaient front, et se rapprochaient continuellement, chacun des pas feutrés rapprochant l'humanoïde corrompu du guerrier dévoilant la démence dans lequel la bête l'avait tourmenté.