HRP : Voici la première ébauche de l'histoire, si vous le voulez je peux rajouter des monstres en plus ou des créatures plus étranges, bien que j'inclus subtilement qu'il y en a dans l'armée du comte ! De plus au fil de l'histoire qui avancera et augmentera, je ferais de plus amples révélations, quand le RP aura bien évolué. Au début il faut déjà choisir son camp etc... Je ne voulais pas en dévoiler trop d'un coup, c'était fait exprès, chacun doit choisir son camp. Ensuite seulement je ferais une suite à l'histoire, disant qui est le vrai méchant de l'histoire, incluant des quêtes etc... Tout évoluera avec vous, membres du jeu (j'éditerai pour supprimer ces quelques lignes)
Il faisait doux cette nuit là.
Au loin, les nuages laissaient place à la lune qui faisait rayonner les visages des soldats. Soldats oui, c’est le mot, car, à cet instant, nous étions tous des soldats… Prêts à se battre pour notre terre, il était hors de question que nous perdions cette guerre, elle n’était pas juste, elle n’était…
Il y avait eu déjà trop de morts.
L’armée que nous étions s’étendait tout du long de la vallée, arme en main, nous attendions ce moment depuis… Tant de temps et de générations.
Il y a 100 ans, comme aujourd’hui, alors que le comte d’Azver était respecté par ses sujets, il se fit assassiner puis ce fut le tour de toute sa famille. Quelques temps plus tard, nous apprenions qu’il avait été tué par un membre de la province voisine. Il y avait toujours eu des relations bien plus que conflictuelles avec cette dernière, mais jamais quoi que ce soit de si violent. Pourtant le jour de l’enterrement du comte, une surprise, non une frayeur annonçant le changement de notre monde se produisit. Le comte revint à la vie !
Rempli de haine et de souffrance, voulant plus de pouvoir qu’il n’en avait jadis possédé.
Comment est il revenu à la vie?
L’ignorance est encore aujourd’hui très présente mais… Nous avons toujours soupçonné les elfes, mystérieuses créatures semblant humaines mais vivant dans des forêts et vouant un culte à la terre, de l’avoir fait revivre. Ils avaient surtout une grande motivation et un intérêt certain à ce jeu sournois, ils n’aimaient pas la façon de vivre et de penser des humains… Beaucoup pensent même encore aujourd’hui qu’ils n’ont eu qu’un plan en tête : notre extinction. De là à devenir fous il n’y plus qu’un pas.
Lorsque le comte remonta sur le trône, il ordonna l’exécution de toutes les personnes de petites tailles, certainement car il était lui-même issu de ce type de famille et qu’il en avait souffert toute sa vie, puis il avilit les femmes, les transformant en esclaves et des bêtes de foire, qu’il vendait à qui en voulait ! Quant aux hommes, il les obligea à entrer dans son armée ! En quelques années, il fit de son royaume une grande puissance dans notre continent et beaucoup des pays voisins en nourrirent une peur atroce. Une peur telle que très vite, sans résistance, ils devinrent vassaux du comte d’Azver.
Les relations diplomatiques n’étaient plus qu’une façade cachant les méfaits du comte et son ascension se fit tellement vite que, bientôt, plus aucun des pays ne put l’affronter.
Le peu de combattants qui poursuivaient leur lutte face à la tyrannie du comte d’Azver n’attendait plus qu’une chose : la mort de celui-ci. Déjà lors de sa mort première il était déjà très âgé, alors l'espoir grandit : il ne devait plus rester beaucoup de temps à cet homme. Il n’avait aucun héritier, donc sa lignée s’éteindrait avec lui.
Plusieurs années, décennies passèrent et toujours rien. Il vivait encore, sans prendre une ride de plus. Il vivait, prenant toujours des décisions abjectes dont personne ne comprenait le fondement ni l’intérêt. Le comte gouverna ainsi pendant 99 années.
Vint alors un homme, certes peut-être providentiel puisque tout le monde attendait comme un messie. Il fallait quelqu’un pour déclencher une révolte. Cet homme se révéla être un de mes camarades les plus proches, Sho. Un ami dont le seul nom aujourd’hui me rempli d’espoir et donne vie au futur. Sho était un sabreur hors pair, il savait manier son épée avec tant de talent qu'il laissait plus d’un général sur le tapis. Il était toujours accompagné de ce qui se faisait de plus atypique dans ce monde : un elfe, un nain et une magicienne. La magie était toujours une pratique interdite et très mal vue par les hautes instances de la religion. Pourtant elle était toujours pratiquée, cherchant des bases logiques et une plus grande ouverture d’esprit, ne faire qu'un avec les éléments, qu'un don naturel et malveillant pour ses ennemis. La magie n’était pas vraiment ce que nous pouvions imaginer, j’en ai eu la preuve par bien des fois.
Sho, mon ami, alla de ville en ville et se battit haut et fort contre la tyrannie dont le peuple était toujours victime. Il avait eu maintes fois des problèmes et des altercations avec les forces de la surveillance désignée par Azver, gagnant combat sur combat. De plus en plus, on entendit parler de cet homme étonnant et beaucoup commencèrent à le suivre. Très vite il se retrouva à la tête d’une armée de mercenaires, puis le temps aidant, les batailles gagnées, nous rapportions avec nous de nouvelles recrues.
En quelques mois, l’armée de Sho devint l’armée contre-impériale. Lors d’une bataille pour un fort, appartenant à un homme très proche d’Azver, alors que tout était propice à la victoire, Sho reçut une flèche dans la tête et tomba de son cheval, mort. Sous le choc, nous perdîmes la bataille et fûmes obligés de partir précipitamment. Plusieurs jours passèrent sans que mots se disent et, un jour, les hommes vinrent sous ma tente, m’expliquant qu’ils souhaitaient continuer ce que Sho avait commencé et que j’étais le seul qu’ils voyaient capable de prendre la tête de l’armée.
Moi à la tête d’une armée? Surtout une armée de ce genre, toutes les races étaient ici représentées. Même les magiciens étaient présents, sans avoir peur des répercussions.
Après bien des réflexions et des tourments, me rendant compte qu’il n’y avait plus qu’une bataille à gagner, je décidais de prendre la tête de l’armée et nous partîmes enfin pour cette ultime bataille.
Comme je l'ai déjà dit, nous étions tous en ligne sur la vallée, une vallée qui descendait jusqu'au château où Azver se terrait. Face à nous, une armée étrange, une armée tellement grande qu’elle semblait immortelle, invincible. Je parvins tout de même à donner l’ordre d’attaquer et la bataille fut lancée.
Partout autour de moi, je vit mes soldats se faire démembrer par ce qui semblait être une meute. Ces gens étaient-ils encore humains? Comment avaient ils pu suivre un homme d’une telle folie? Devant moi, le chemin tracé par ma garde personnelle à coups de haches et d'épées afin de me donner une chance d'affronter Azver face à face, fut praticable et clair, tant et si bien que je me retrouvais face à lui. Je réussis à le regarder dans les yeux et me rendit compte qu’il n’y avait plus rien… Il était mort déjà, bien avant même d’avoir entrepris sa conquête. Je compris que notre ennemi était tout autre, qu’Azver était en réalité un pion. Toutefois, j’étais là pour le tuer. Voyant mon armée se réduire à un monceau de cadavres et perdre, il ne me resta bientôt plus qu’une solution : tuer le chef de l’armée ennemie.
Notre combat fut très bref. Je me ruais vers lui, la hache à la main lorsque je vis, derrière lui, dans le ciel, arrivant à toute allure, des chevaucheurs de dragons… Il y en avait dans son armée mais jamais je ne les avais vu ! Il y en avait très peu dans nos provinces, très peu de personnes pouvaient combattre aux cotés d’un dieu du ciel. Je me reculais, encore, de plus en plus. L'ennemi fonça sur moi et me coupa le bras gauche. Dans un dernier râle, je lui planta ma hache dans la tête. L'ignoble me sourit et je perdis connaissance… Nous tombèrent.
A mon réveil, je n’avais plus de bras et j'étais dans une chambre. On m’expliqua qu’on n'avait retrouvé que moi.
Je ne sais pas ce qu’est devenue mon armée, tout ce que l’on m’a dit c’est que Azver était toujours en vie et qu’il recrute encore aujourd’hui, j’espère que personne ne le suivra… Pourtant, sa folie était… Ou alors suis-je dans l'erreur? Suis-je celui qui se trompe? Je n’ai même pas pu lui demander ses raisons.
Le médecin vint me voir, il m’expliqua que la blessure était infectée. Je vais mourir. J’écris ces dernières lignes sur mon lit de mort pour que la génération future se batte contre Azver, contre celui qui tire les ficelles, en découvre les raisons et… pourquoi pas… Nous redonne une vie paisible.
Kokoro le Nain, fils de Bori le nain et de Miskella l’elfe.
Quelques temps après la mort de Kokoro, nous apprenions que l’armée d’Azver continuait sa conquête et que, de son coté, une armée de militants, acceptant elle aussi toutes les races, se mettait en marche. Pourtant, il semblait aussi qu’une armée d’elfes devenait hostile aux humains, la diplomatie était en cours. Les magiciens se cachaient toujours et les nains de la province du nord étaient du côté d’Azver tandis que les autres rejoignaient, en majorité, l’armée opposée encore en formation. Elle n’avait pas encore vraiment de nom, certains la nommaient « l’armée des rêves ».
Annonce : Que vous soyez humain, nain, elfe ou magicien, il est temps de prendre part au combat !
Il faisait doux cette nuit là.
Au loin, les nuages laissaient place à la lune qui faisait rayonner les visages des soldats. Soldats oui, c’est le mot, car, à cet instant, nous étions tous des soldats… Prêts à se battre pour notre terre, il était hors de question que nous perdions cette guerre, elle n’était pas juste, elle n’était…
Il y avait eu déjà trop de morts.
L’armée que nous étions s’étendait tout du long de la vallée, arme en main, nous attendions ce moment depuis… Tant de temps et de générations.
Il y a 100 ans, comme aujourd’hui, alors que le comte d’Azver était respecté par ses sujets, il se fit assassiner puis ce fut le tour de toute sa famille. Quelques temps plus tard, nous apprenions qu’il avait été tué par un membre de la province voisine. Il y avait toujours eu des relations bien plus que conflictuelles avec cette dernière, mais jamais quoi que ce soit de si violent. Pourtant le jour de l’enterrement du comte, une surprise, non une frayeur annonçant le changement de notre monde se produisit. Le comte revint à la vie !
Rempli de haine et de souffrance, voulant plus de pouvoir qu’il n’en avait jadis possédé.
Comment est il revenu à la vie?
L’ignorance est encore aujourd’hui très présente mais… Nous avons toujours soupçonné les elfes, mystérieuses créatures semblant humaines mais vivant dans des forêts et vouant un culte à la terre, de l’avoir fait revivre. Ils avaient surtout une grande motivation et un intérêt certain à ce jeu sournois, ils n’aimaient pas la façon de vivre et de penser des humains… Beaucoup pensent même encore aujourd’hui qu’ils n’ont eu qu’un plan en tête : notre extinction. De là à devenir fous il n’y plus qu’un pas.
Lorsque le comte remonta sur le trône, il ordonna l’exécution de toutes les personnes de petites tailles, certainement car il était lui-même issu de ce type de famille et qu’il en avait souffert toute sa vie, puis il avilit les femmes, les transformant en esclaves et des bêtes de foire, qu’il vendait à qui en voulait ! Quant aux hommes, il les obligea à entrer dans son armée ! En quelques années, il fit de son royaume une grande puissance dans notre continent et beaucoup des pays voisins en nourrirent une peur atroce. Une peur telle que très vite, sans résistance, ils devinrent vassaux du comte d’Azver.
Les relations diplomatiques n’étaient plus qu’une façade cachant les méfaits du comte et son ascension se fit tellement vite que, bientôt, plus aucun des pays ne put l’affronter.
Le peu de combattants qui poursuivaient leur lutte face à la tyrannie du comte d’Azver n’attendait plus qu’une chose : la mort de celui-ci. Déjà lors de sa mort première il était déjà très âgé, alors l'espoir grandit : il ne devait plus rester beaucoup de temps à cet homme. Il n’avait aucun héritier, donc sa lignée s’éteindrait avec lui.
Plusieurs années, décennies passèrent et toujours rien. Il vivait encore, sans prendre une ride de plus. Il vivait, prenant toujours des décisions abjectes dont personne ne comprenait le fondement ni l’intérêt. Le comte gouverna ainsi pendant 99 années.
Vint alors un homme, certes peut-être providentiel puisque tout le monde attendait comme un messie. Il fallait quelqu’un pour déclencher une révolte. Cet homme se révéla être un de mes camarades les plus proches, Sho. Un ami dont le seul nom aujourd’hui me rempli d’espoir et donne vie au futur. Sho était un sabreur hors pair, il savait manier son épée avec tant de talent qu'il laissait plus d’un général sur le tapis. Il était toujours accompagné de ce qui se faisait de plus atypique dans ce monde : un elfe, un nain et une magicienne. La magie était toujours une pratique interdite et très mal vue par les hautes instances de la religion. Pourtant elle était toujours pratiquée, cherchant des bases logiques et une plus grande ouverture d’esprit, ne faire qu'un avec les éléments, qu'un don naturel et malveillant pour ses ennemis. La magie n’était pas vraiment ce que nous pouvions imaginer, j’en ai eu la preuve par bien des fois.
Sho, mon ami, alla de ville en ville et se battit haut et fort contre la tyrannie dont le peuple était toujours victime. Il avait eu maintes fois des problèmes et des altercations avec les forces de la surveillance désignée par Azver, gagnant combat sur combat. De plus en plus, on entendit parler de cet homme étonnant et beaucoup commencèrent à le suivre. Très vite il se retrouva à la tête d’une armée de mercenaires, puis le temps aidant, les batailles gagnées, nous rapportions avec nous de nouvelles recrues.
En quelques mois, l’armée de Sho devint l’armée contre-impériale. Lors d’une bataille pour un fort, appartenant à un homme très proche d’Azver, alors que tout était propice à la victoire, Sho reçut une flèche dans la tête et tomba de son cheval, mort. Sous le choc, nous perdîmes la bataille et fûmes obligés de partir précipitamment. Plusieurs jours passèrent sans que mots se disent et, un jour, les hommes vinrent sous ma tente, m’expliquant qu’ils souhaitaient continuer ce que Sho avait commencé et que j’étais le seul qu’ils voyaient capable de prendre la tête de l’armée.
Moi à la tête d’une armée? Surtout une armée de ce genre, toutes les races étaient ici représentées. Même les magiciens étaient présents, sans avoir peur des répercussions.
Après bien des réflexions et des tourments, me rendant compte qu’il n’y avait plus qu’une bataille à gagner, je décidais de prendre la tête de l’armée et nous partîmes enfin pour cette ultime bataille.
Comme je l'ai déjà dit, nous étions tous en ligne sur la vallée, une vallée qui descendait jusqu'au château où Azver se terrait. Face à nous, une armée étrange, une armée tellement grande qu’elle semblait immortelle, invincible. Je parvins tout de même à donner l’ordre d’attaquer et la bataille fut lancée.
Partout autour de moi, je vit mes soldats se faire démembrer par ce qui semblait être une meute. Ces gens étaient-ils encore humains? Comment avaient ils pu suivre un homme d’une telle folie? Devant moi, le chemin tracé par ma garde personnelle à coups de haches et d'épées afin de me donner une chance d'affronter Azver face à face, fut praticable et clair, tant et si bien que je me retrouvais face à lui. Je réussis à le regarder dans les yeux et me rendit compte qu’il n’y avait plus rien… Il était mort déjà, bien avant même d’avoir entrepris sa conquête. Je compris que notre ennemi était tout autre, qu’Azver était en réalité un pion. Toutefois, j’étais là pour le tuer. Voyant mon armée se réduire à un monceau de cadavres et perdre, il ne me resta bientôt plus qu’une solution : tuer le chef de l’armée ennemie.
Notre combat fut très bref. Je me ruais vers lui, la hache à la main lorsque je vis, derrière lui, dans le ciel, arrivant à toute allure, des chevaucheurs de dragons… Il y en avait dans son armée mais jamais je ne les avais vu ! Il y en avait très peu dans nos provinces, très peu de personnes pouvaient combattre aux cotés d’un dieu du ciel. Je me reculais, encore, de plus en plus. L'ennemi fonça sur moi et me coupa le bras gauche. Dans un dernier râle, je lui planta ma hache dans la tête. L'ignoble me sourit et je perdis connaissance… Nous tombèrent.
A mon réveil, je n’avais plus de bras et j'étais dans une chambre. On m’expliqua qu’on n'avait retrouvé que moi.
Je ne sais pas ce qu’est devenue mon armée, tout ce que l’on m’a dit c’est que Azver était toujours en vie et qu’il recrute encore aujourd’hui, j’espère que personne ne le suivra… Pourtant, sa folie était… Ou alors suis-je dans l'erreur? Suis-je celui qui se trompe? Je n’ai même pas pu lui demander ses raisons.
Le médecin vint me voir, il m’expliqua que la blessure était infectée. Je vais mourir. J’écris ces dernières lignes sur mon lit de mort pour que la génération future se batte contre Azver, contre celui qui tire les ficelles, en découvre les raisons et… pourquoi pas… Nous redonne une vie paisible.
Kokoro le Nain, fils de Bori le nain et de Miskella l’elfe.
Quelques temps après la mort de Kokoro, nous apprenions que l’armée d’Azver continuait sa conquête et que, de son coté, une armée de militants, acceptant elle aussi toutes les races, se mettait en marche. Pourtant, il semblait aussi qu’une armée d’elfes devenait hostile aux humains, la diplomatie était en cours. Les magiciens se cachaient toujours et les nains de la province du nord étaient du côté d’Azver tandis que les autres rejoignaient, en majorité, l’armée opposée encore en formation. Elle n’avait pas encore vraiment de nom, certains la nommaient « l’armée des rêves ».
Annonce : Que vous soyez humain, nain, elfe ou magicien, il est temps de prendre part au combat !
