Titre : L'éternité peut-être ...
Titre original : Towa kamo shirenai
Auteur : Akaishi Michiyo
Catégorie : Shojo
Genre : Romance, fantastique
Année de sortie : 1998 (VO) - 2004 (VF)
Editeur VO : Shogakukan
Editeur VF: J'ai lu
Nombre de volumes en France : 8
Nombre de volumes au Japon : 8
Du même auteur : Alpen Rose, Amakusa
L'éternité peut-être... de Michiyo Akaishi
Kosumo Koganehara est une jeune fille de 17 ans qui possède depuis toujours un cœur fragile. Dans l'attente d'une greffe, malgré son jeune âge et son absence d'expérience, elle s'accroche avec détermination à la vie dans l'espoir de la vivre enfin.
C'est à New York que le miracle se produit: une jeune fille, japonaise de surcroît, possédant le même groupe sanguin perd la vie dans un accident : Kosumo est sauvée. Sauf que l'histoire ne s'arrête pas là : Himiko, la donneuse, est en réalité l'une des plus grande prêtresse du Japon dont l'influence s'étend jusqu'au gouvernement.
(On pense ici à X de Clamp et au rôle d'Hinoto.)
Ses facultés lui permettent d'employer la puissance des dieux (kami) essentiellement celui du soleil (amaterasu) dont elle est en quelque sorte le réceptacle. On s'interroge donc : coup du sort ou volonté de la prêtresse? Car Kosumo qui semble être davantage liée à la lune (tsukuyomi) - ses pouvoirs ne faiblissent pas la nuit, ni sous un ciel couvert - conserve aussi les facultés d'Himiko qui via son coeur demeure présente en Kosumo, ce qui annonce un pouvoir redoutable.
C'est ce lien qui, dans un premier temps, poussera Hitsugi, le protecteur d'Himiko ayant faillit à sa tâche, à veiller sur Kosumo. Par la suite, Kosumo prendra le devant dans son cœur, mais la culpabilité faisant son chemin, Hitsugi face à la peur de faillir à nouveau laissera sa part d'ombre révéler le pouvoir destructeur qui sommeille en lui : celui de Susanoo. Ce qui n'augure rien de bon, en effet les forces de Tokoyo no kami pourraient bien s'en servir pour ravager le monde.
Ce manga m'aura fait penser en grande partie à X de Clamp, pour le thème abordé : celui de la nature ravagée par les hommes. Mais ici, la colère des dieux est influencée par le pouvoir de Tokoyo no Kami qui occulte la part de bien : quelque soit la part d'ombre aussi infime soit-elle elle prend une ampleur si démesurée qu'elle peut pousser n'importe qui aux pire exactions.
Par contre, les papillons tueurs, c'est une première! Et cracher des chenilles O.O! A la limite Boogiepop Phantom pour la présence d'insectes ...
En bref, le style un peu vieillot mais pas trop passe pour qui apprécie le genre, ce shojo fait penser à des séries comme X, RG Veda, Fushigi Yugi, mais reste bien en deçà de la qualité de ces titres le tout restant trop axé dans le gentillet malgré quelques passages franchement sombres.
Et pour ne pas perdre les vieilles habitudes, ou presque, je vous parle d'un manga qui n'est plus édité ^-^' En même temps il ne risque pas d'attirer la foule, et pourtant j'ai réussi à lire les 8 tomes d'une traite. C'est dire qu'il n'est pas si mauvais ^-^!
Titre original : Towa kamo shirenai
Auteur : Akaishi Michiyo
Catégorie : Shojo
Genre : Romance, fantastique
Année de sortie : 1998 (VO) - 2004 (VF)
Editeur VO : Shogakukan
Editeur VF: J'ai lu
Nombre de volumes en France : 8
Nombre de volumes au Japon : 8
Du même auteur : Alpen Rose, Amakusa
L'éternité peut-être... de Michiyo Akaishi
Kosumo Koganehara est une jeune fille de 17 ans qui possède depuis toujours un cœur fragile. Dans l'attente d'une greffe, malgré son jeune âge et son absence d'expérience, elle s'accroche avec détermination à la vie dans l'espoir de la vivre enfin.
C'est à New York que le miracle se produit: une jeune fille, japonaise de surcroît, possédant le même groupe sanguin perd la vie dans un accident : Kosumo est sauvée. Sauf que l'histoire ne s'arrête pas là : Himiko, la donneuse, est en réalité l'une des plus grande prêtresse du Japon dont l'influence s'étend jusqu'au gouvernement.
(On pense ici à X de Clamp et au rôle d'Hinoto.)
Ses facultés lui permettent d'employer la puissance des dieux (kami) essentiellement celui du soleil (amaterasu) dont elle est en quelque sorte le réceptacle. On s'interroge donc : coup du sort ou volonté de la prêtresse? Car Kosumo qui semble être davantage liée à la lune (tsukuyomi) - ses pouvoirs ne faiblissent pas la nuit, ni sous un ciel couvert - conserve aussi les facultés d'Himiko qui via son coeur demeure présente en Kosumo, ce qui annonce un pouvoir redoutable.
C'est ce lien qui, dans un premier temps, poussera Hitsugi, le protecteur d'Himiko ayant faillit à sa tâche, à veiller sur Kosumo. Par la suite, Kosumo prendra le devant dans son cœur, mais la culpabilité faisant son chemin, Hitsugi face à la peur de faillir à nouveau laissera sa part d'ombre révéler le pouvoir destructeur qui sommeille en lui : celui de Susanoo. Ce qui n'augure rien de bon, en effet les forces de Tokoyo no kami pourraient bien s'en servir pour ravager le monde.
Par contre, les papillons tueurs, c'est une première! Et cracher des chenilles O.O! A la limite Boogiepop Phantom pour la présence d'insectes ...
En bref, le style un peu vieillot mais pas trop passe pour qui apprécie le genre, ce shojo fait penser à des séries comme X, RG Veda, Fushigi Yugi, mais reste bien en deçà de la qualité de ces titres le tout restant trop axé dans le gentillet malgré quelques passages franchement sombres.
Et pour ne pas perdre les vieilles habitudes, ou presque, je vous parle d'un manga qui n'est plus édité ^-^' En même temps il ne risque pas d'attirer la foule, et pourtant j'ai réussi à lire les 8 tomes d'une traite. C'est dire qu'il n'est pas si mauvais ^-^!