Onechanbara ZII Chaos
Editeur / Développeur : Tamsoft | D3 Publisher
Genre: Beath them all en 3D
Format : PS4, PC
Date de sortie : 4 Juin 2016 (Steam), 28 Octobre 2015 (PS4 euro)
Des filles presque à poil. Un jeu similaire à la sauce Bayonetta. Des graphismes quasiment jolis. OneChanbara Z2 Chaos fait les choses bien. Enfin, presque…
Comment ce titre a débarqué sur Steam (version testée) en toute impunité ?
Tamsoft, éditeur pour Otakus ?
La saga a débuté depuis quelques années à l’époque de la Playstation 2. L’action se destine à surfer sur le succès des Devil May Cry ; jeu de la société Capcom ; or Tamsoft ne bénéficie pas de moyens financiers colossaux face au géant d’Osaka. C’est l’une des raisons que la série des Onechanbara ne trouvait pas un succès commercial, mais plus s’orientant à des fans de la japanime coquine. Néanmoins avec de belles plastiques, nous avions vu dans un genre différent avec la saga de Tecmo : Dead or Alive (soft de baston en 3D, bien connu des spécialistes).
C’est vrai que la série Onechanbara n’a jamais brillé pour ses graphismes ou par son gameplay trop simpliste. Aussi soyons positifs, le jeu évolue avec cet opus Chaos et plutôt dans le bon sens.
Ne nous limitons pas aux bikinis et à la beauté de ces femmes ; le piège semble trop facile pour un vieux briscard comme moi.
Tu tranches ma Belle !
Le jeu s’apparentait à un beat them all super basique où il fallait de temps en temps retirer le sang du katana afin qu’il retrouve son efficacité. Pourtant d’un point de vue graphique, ces productions sont laides face à des titres cultes comme le DMC de Ninja Theory, de plus les programmeurs semblent être très en retard d’une génération de console cependant on s’amuse bien. La saga ne se prend pas la tête, de plus il attire toujours une sympathie vis-à-vis des joueurs masculins, le charme opère.
Aujourd’hui, on est un peu dans le même cas de figure. C’est toujours moche mais moins qu’avant : on est sur PC malgré tout !
La modélisation des personnages n’est pas horrible. On évolue toujours dans des arènes assez petites (quand le monde ouvert est devenu presque la norme) où on nous envoie des hordes interminables d’ennemis. La sensation de faire du surplace est toujours la même. Mais c’est toujours amusant voire plus qu’avant : en effet le gameplay a sensiblement évolué vers la diversification. 4 personnages sont jouables et il est possible d’en choisir deux parmi ceux-ci et de switcher de l’un à l’autre. Enfin les règles évoluent d’un stage à l’autre. Parfois, on est seul, parfois nous sommes à 4 combattantes.
Dynamique les Demoiselles
Les développeurs ont fait ce qu’ils ont pu rendre tout cela varié, ce qui conduit à un rendu bien nerveux, ceci constitue déjà un bon point. On peut aussi contrôler deux personnages à la fois (en fait elles se suivent) et là c’est vraiment le bordel à l’écran.
Le jeu tourne en 60 images par seconde et affiche fièrement sa résolution de 1080P (information pour la version PS4 et plus haut pour le PC : 1920*1080 en max) mais il faut quand même avouer que c’était le minimum acceptable vu le niveau de la réalisation.
"Les amateurs de Barbie seront en tous cas ravis de pouvoir faire joujou avec les fifilles afin de les vêtir (ou les dévêtir) de toute une « tripotée » de vêtements et accessoires bien vulgaires."(Davy1 - Cfan)
La valse des Katanas
Loin d’être parfait sur le moteur graphique, Onechanbara mise sur un gameplay dynamique ; il existe une panoplie de coups suffisamment étoffée pour jouer une nouvelle fois afin de débloquer d’autres armements, en outre le fan service voudra sans doute habiller sa douce dans des tenues sexy, mais ne nuisant nullement le déhanchement de son corps.
Ce titre est clairement destiné aux passionnés et il peut parfaitement se compléter avec le dernier Tortues Ninja de Platinum Games (fortement « allumé » par la presse spécialisée).
On peut reprocher le manque d’un mode multi-joueurs, il aurait permis de se défouler ensemble dans les niveaux. Mais revenons sur les points positifs du jeu, il offre un challenge élevé et il s’adresse à des personnes cherchant non seulement l’attrait esthétique de ces dames, mais également du scoring.
Et croyez-moi, n’espérez pas finir le titre en cinq heures, mais plus une bonne dizaine pour la campagne solo, sans oublier les défis proposés.
Graphismes :
Pauvres dans les décors, car le titre ressemble beaucoup à Devil May Cry 2 ; pourtant les demoiselles ont vraiment de la classe.
Animation
La caméra suite bien les personnages malgré sur l’écran, l’action vous semble carrément bordélique. Le joueur lui prend vraiment du plaisir. L’animation des belles pourra être encore améliorée au prochain épisode.
Jouabilité
Très énergique et le panel de coups est bien renforcé par les combos.
Bande sonore
Japonisant à souhait
Replay value
Pour ceux qui aiment les fifilles en petite tenue, mais aussi pour les fans du genre
Verdict : Bon jeu
Editeur / Développeur : Tamsoft | D3 Publisher
Genre: Beath them all en 3D
Format : PS4, PC
Date de sortie : 4 Juin 2016 (Steam), 28 Octobre 2015 (PS4 euro)
Des filles presque à poil. Un jeu similaire à la sauce Bayonetta. Des graphismes quasiment jolis. OneChanbara Z2 Chaos fait les choses bien. Enfin, presque…
Comment ce titre a débarqué sur Steam (version testée) en toute impunité ?
Tamsoft, éditeur pour Otakus ?
La saga a débuté depuis quelques années à l’époque de la Playstation 2. L’action se destine à surfer sur le succès des Devil May Cry ; jeu de la société Capcom ; or Tamsoft ne bénéficie pas de moyens financiers colossaux face au géant d’Osaka. C’est l’une des raisons que la série des Onechanbara ne trouvait pas un succès commercial, mais plus s’orientant à des fans de la japanime coquine. Néanmoins avec de belles plastiques, nous avions vu dans un genre différent avec la saga de Tecmo : Dead or Alive (soft de baston en 3D, bien connu des spécialistes).
C’est vrai que la série Onechanbara n’a jamais brillé pour ses graphismes ou par son gameplay trop simpliste. Aussi soyons positifs, le jeu évolue avec cet opus Chaos et plutôt dans le bon sens.
Ne nous limitons pas aux bikinis et à la beauté de ces femmes ; le piège semble trop facile pour un vieux briscard comme moi.
Tu tranches ma Belle !
Le jeu s’apparentait à un beat them all super basique où il fallait de temps en temps retirer le sang du katana afin qu’il retrouve son efficacité. Pourtant d’un point de vue graphique, ces productions sont laides face à des titres cultes comme le DMC de Ninja Theory, de plus les programmeurs semblent être très en retard d’une génération de console cependant on s’amuse bien. La saga ne se prend pas la tête, de plus il attire toujours une sympathie vis-à-vis des joueurs masculins, le charme opère.
Aujourd’hui, on est un peu dans le même cas de figure. C’est toujours moche mais moins qu’avant : on est sur PC malgré tout !
La modélisation des personnages n’est pas horrible. On évolue toujours dans des arènes assez petites (quand le monde ouvert est devenu presque la norme) où on nous envoie des hordes interminables d’ennemis. La sensation de faire du surplace est toujours la même. Mais c’est toujours amusant voire plus qu’avant : en effet le gameplay a sensiblement évolué vers la diversification. 4 personnages sont jouables et il est possible d’en choisir deux parmi ceux-ci et de switcher de l’un à l’autre. Enfin les règles évoluent d’un stage à l’autre. Parfois, on est seul, parfois nous sommes à 4 combattantes.
Dynamique les Demoiselles
Les développeurs ont fait ce qu’ils ont pu rendre tout cela varié, ce qui conduit à un rendu bien nerveux, ceci constitue déjà un bon point. On peut aussi contrôler deux personnages à la fois (en fait elles se suivent) et là c’est vraiment le bordel à l’écran.
Le jeu tourne en 60 images par seconde et affiche fièrement sa résolution de 1080P (information pour la version PS4 et plus haut pour le PC : 1920*1080 en max) mais il faut quand même avouer que c’était le minimum acceptable vu le niveau de la réalisation.
"Les amateurs de Barbie seront en tous cas ravis de pouvoir faire joujou avec les fifilles afin de les vêtir (ou les dévêtir) de toute une « tripotée » de vêtements et accessoires bien vulgaires."(Davy1 - Cfan)
La valse des Katanas
Loin d’être parfait sur le moteur graphique, Onechanbara mise sur un gameplay dynamique ; il existe une panoplie de coups suffisamment étoffée pour jouer une nouvelle fois afin de débloquer d’autres armements, en outre le fan service voudra sans doute habiller sa douce dans des tenues sexy, mais ne nuisant nullement le déhanchement de son corps.
Ce titre est clairement destiné aux passionnés et il peut parfaitement se compléter avec le dernier Tortues Ninja de Platinum Games (fortement « allumé » par la presse spécialisée).
On peut reprocher le manque d’un mode multi-joueurs, il aurait permis de se défouler ensemble dans les niveaux. Mais revenons sur les points positifs du jeu, il offre un challenge élevé et il s’adresse à des personnes cherchant non seulement l’attrait esthétique de ces dames, mais également du scoring.
Et croyez-moi, n’espérez pas finir le titre en cinq heures, mais plus une bonne dizaine pour la campagne solo, sans oublier les défis proposés.
Graphismes :
Pauvres dans les décors, car le titre ressemble beaucoup à Devil May Cry 2 ; pourtant les demoiselles ont vraiment de la classe.
Animation
La caméra suite bien les personnages malgré sur l’écran, l’action vous semble carrément bordélique. Le joueur lui prend vraiment du plaisir. L’animation des belles pourra être encore améliorée au prochain épisode.
Jouabilité
Très énergique et le panel de coups est bien renforcé par les combos.
Bande sonore
Japonisant à souhait
Replay value
Pour ceux qui aiment les fifilles en petite tenue, mais aussi pour les fans du genre
Verdict : Bon jeu