Gears of War la version dite "Ultime" ?
Je ne veux pas revenir une nouvelle fois sur une éventuelle critique complète de ce titre ; sachant que vous avez eu un avis déjà sur ce titre (ici) par l’intermédiaire de la bêta réalisée en juin dernier sur la vallée du blabla.
Aujourd’hui, vous trouverez un avis simple et efficace envers ce titre, de plus vous pouvez librement consulter d'autres critiques plus pointues, cependant nous devons aller droit au but et donner la vérité aux joueurs.
Ce titre montre bien l’effort de la société Microsoft à accrocher les premiers joueurs de la marque, mais également d’attirer une possible population aimant les FPS musclés.
Neuf ans après sa sortie, la version remastered de Gears of War débarque sur Xbox One. Un remake HD qui, en plus de lisser les graphismes, ajoute plusieurs choses au jeu de base sans le trahir. Ici, c’est The Coalition, nouveau studio de Microsoft et responsable de Gears 4, qui s’en charge. Une bonne manière de se faire les dents, diront certains. Pari réussi ?
Quoi de nouveau sous le soleil de Sera ?
Gears of War était déjà beau à sa sortie. C’était même l’une des grosses claques graphiques de l’année 2006 sur consoles. Un jeu qui qui nous en mettait plein les mirettes et qui a permis à Microsoft de vendre beaucoup, beaucoup de 360 à cette époque. Cette version One rend honneur au jeu de base. En plus de retravailler les textures, The Coalition a donné un sérieux coup de polish aux décors, aux animations ainsi qu’aux cutscenes, plus dynamiques. Saluons également le gros travail sur les effets de lumières qui font de Gears Ultimate Edition l’un des plus beaux jeux de la One, malgré quelques effets baveux, parfois.
« Eh ouais ! Gros regret, cependant, sur la limitation à 30 fps (mais en 1080p) du mode solo. Le mode multi, lui, jouit d’un framerate à 60 fps. Un choix curieux, mais qui peut se comprendre par la débauche d’effets et le nombre d’ennemis à l’écran pendant la campagne.
Tenez, pour vous rendre compte de l’amélioration graphique, regardez ces deux screenshots. Le premier est issu de la version 360 tandis que le deuxième est tiré de cette Ultimate Edition : »
Facon bourrin
« Côté gameplay, pas grand-chose de nouveau sous le soleil. Si les nouveautés de Gears 2 et 3 n’ont pas été intégrées, les développeurs ont rajouté deux-trois petites choses pour nous faciliter la vie, comme une IA des coéquipiers repensée (les locustes sont, eux, toujours cons comme des sardines), un système de couverture plus maniable et des déplacements, comme le demi-tour, simplifiés. Ne rêvez pas, cependant, Marcus et ses potes sont toujours aussi maniables que des 33 tonnes roulant sur les jantes, mais ces déplacements lourds ont toujours été une volonté de Cliffy B, créateur de la saga. Enfin, soulignons d’autres améliorations, comme cinq chapitres bonus (exclusifs à la version PC, jusque-là), un outil de recherche de parties repensé en multi (mais long en ces premiers jours de jeu), de nouveaux modes de jeu inspirés des suites et un sérieux lifting graphique des maps multi. Que du bon. »
« Pourquoi est-il important de jouer à Gears si vous n’y avez jamais touché ? »
« Gears of War fait partie de ses jeux qui ont marqué l’histoire du jeu vidéo. Sa sortie en 2006 a donné un bon gros coup de pied dans les burnes du petit monde des jeux d’action à la troisième personne. Pour faire une comparaison avec le ciné, la campagne de Gears est comme le dernier Mad Max, un rodéo fou furieux, un concert d’explosions et de vrombissements (de tronçonneuses) qui ne s’arrête qu’à l’apparition du générique de fin. Une expérience éprouvante, caméra à l’épaule, à faire de préférence d’une traite. »
Pour ma part, ce titre est enfin un élément vendeur pour l’achat d’une Xbox One ; ce jeu met en valeur les capacités de la console, à travers de magnifiques textures et une licence bien éprouvée au fil des années. De plus, le fan de la première heure saura apprécier tout le travail des programmeurs, si bien qu’on a du mal de se repérer la première fois qu’on joue à cette nouvelle version.
Ce soft permet également aux nouveaux joueurs de découvrir Marcus et ses compagnons à travers une aventure épique, même si le scénario reste classique, la force réside dans une action omis présente ainsi qu’un mode campagne pouvant se jouer à deux joueurs.
« Un bon gros os à ronger en attendant le quatrième épisode. » (Journal du Gamer - Xbox Gen)
.Graphismes : 17.00/20
Le Gears Of War original était très grisonnant. Celui-ci est très coloré, de plus le titre regorge presque trop de détails, car on se sent perdu lors des premières parties.
. Animation : 16.00/20
30 FPS seul ou 60 FPS en multi online.
. Jouabilité : 17.00/20
Le gameplay d’époque a bien traversé les âges, et pour cause, aujourd’hui tout le monde l’imite.
. Bande Sonore : 17.00/20
La BO de l’époque, l’ambiance musicale donne toujours autant de punch à ce titre.
En résumé, réaliser Gears Of War Ultimate n’étais pas un gros risque au vu de la qualité du jeu de départ. Refonte graphique et nouvelles cinématiques étaient néanmoins nécessaires : mission accomplie.
Verdict : Très bon jeu
Sources : Amazon, Journal du Gamer (texte) et Xbox Gen
A lire également : Preview Gears of War, Bêta
Je ne veux pas revenir une nouvelle fois sur une éventuelle critique complète de ce titre ; sachant que vous avez eu un avis déjà sur ce titre (ici) par l’intermédiaire de la bêta réalisée en juin dernier sur la vallée du blabla.
Aujourd’hui, vous trouverez un avis simple et efficace envers ce titre, de plus vous pouvez librement consulter d'autres critiques plus pointues, cependant nous devons aller droit au but et donner la vérité aux joueurs.
Ce titre montre bien l’effort de la société Microsoft à accrocher les premiers joueurs de la marque, mais également d’attirer une possible population aimant les FPS musclés.
Neuf ans après sa sortie, la version remastered de Gears of War débarque sur Xbox One. Un remake HD qui, en plus de lisser les graphismes, ajoute plusieurs choses au jeu de base sans le trahir. Ici, c’est The Coalition, nouveau studio de Microsoft et responsable de Gears 4, qui s’en charge. Une bonne manière de se faire les dents, diront certains. Pari réussi ?
Quoi de nouveau sous le soleil de Sera ?
Gears of War était déjà beau à sa sortie. C’était même l’une des grosses claques graphiques de l’année 2006 sur consoles. Un jeu qui qui nous en mettait plein les mirettes et qui a permis à Microsoft de vendre beaucoup, beaucoup de 360 à cette époque. Cette version One rend honneur au jeu de base. En plus de retravailler les textures, The Coalition a donné un sérieux coup de polish aux décors, aux animations ainsi qu’aux cutscenes, plus dynamiques. Saluons également le gros travail sur les effets de lumières qui font de Gears Ultimate Edition l’un des plus beaux jeux de la One, malgré quelques effets baveux, parfois.
« Eh ouais ! Gros regret, cependant, sur la limitation à 30 fps (mais en 1080p) du mode solo. Le mode multi, lui, jouit d’un framerate à 60 fps. Un choix curieux, mais qui peut se comprendre par la débauche d’effets et le nombre d’ennemis à l’écran pendant la campagne.
Tenez, pour vous rendre compte de l’amélioration graphique, regardez ces deux screenshots. Le premier est issu de la version 360 tandis que le deuxième est tiré de cette Ultimate Edition : »
Facon bourrin
« Côté gameplay, pas grand-chose de nouveau sous le soleil. Si les nouveautés de Gears 2 et 3 n’ont pas été intégrées, les développeurs ont rajouté deux-trois petites choses pour nous faciliter la vie, comme une IA des coéquipiers repensée (les locustes sont, eux, toujours cons comme des sardines), un système de couverture plus maniable et des déplacements, comme le demi-tour, simplifiés. Ne rêvez pas, cependant, Marcus et ses potes sont toujours aussi maniables que des 33 tonnes roulant sur les jantes, mais ces déplacements lourds ont toujours été une volonté de Cliffy B, créateur de la saga. Enfin, soulignons d’autres améliorations, comme cinq chapitres bonus (exclusifs à la version PC, jusque-là), un outil de recherche de parties repensé en multi (mais long en ces premiers jours de jeu), de nouveaux modes de jeu inspirés des suites et un sérieux lifting graphique des maps multi. Que du bon. »
« Pourquoi est-il important de jouer à Gears si vous n’y avez jamais touché ? »
« Gears of War fait partie de ses jeux qui ont marqué l’histoire du jeu vidéo. Sa sortie en 2006 a donné un bon gros coup de pied dans les burnes du petit monde des jeux d’action à la troisième personne. Pour faire une comparaison avec le ciné, la campagne de Gears est comme le dernier Mad Max, un rodéo fou furieux, un concert d’explosions et de vrombissements (de tronçonneuses) qui ne s’arrête qu’à l’apparition du générique de fin. Une expérience éprouvante, caméra à l’épaule, à faire de préférence d’une traite. »
Pour ma part, ce titre est enfin un élément vendeur pour l’achat d’une Xbox One ; ce jeu met en valeur les capacités de la console, à travers de magnifiques textures et une licence bien éprouvée au fil des années. De plus, le fan de la première heure saura apprécier tout le travail des programmeurs, si bien qu’on a du mal de se repérer la première fois qu’on joue à cette nouvelle version.
Ce soft permet également aux nouveaux joueurs de découvrir Marcus et ses compagnons à travers une aventure épique, même si le scénario reste classique, la force réside dans une action omis présente ainsi qu’un mode campagne pouvant se jouer à deux joueurs.
« Un bon gros os à ronger en attendant le quatrième épisode. » (Journal du Gamer - Xbox Gen)
.Graphismes : 17.00/20
Le Gears Of War original était très grisonnant. Celui-ci est très coloré, de plus le titre regorge presque trop de détails, car on se sent perdu lors des premières parties.
. Animation : 16.00/20
30 FPS seul ou 60 FPS en multi online.
. Jouabilité : 17.00/20
Le gameplay d’époque a bien traversé les âges, et pour cause, aujourd’hui tout le monde l’imite.
. Bande Sonore : 17.00/20
La BO de l’époque, l’ambiance musicale donne toujours autant de punch à ce titre.
En résumé, réaliser Gears Of War Ultimate n’étais pas un gros risque au vu de la qualité du jeu de départ. Refonte graphique et nouvelles cinématiques étaient néanmoins nécessaires : mission accomplie.
Verdict : Très bon jeu
Sources : Amazon, Journal du Gamer (texte) et Xbox Gen
A lire également : Preview Gears of War, Bêta