Super Street Fighter II The New Challengers
Développeur : Nintendo & autres
Editeur : Capcom
Genre : Baston en 2D, 1-2 Joueur(s) simultanément
Format : Arcade, Snes, Md, Compilations, etc.
Année : 1993-1994
Les jeux de combat sont revenus sur le devant de la scène pour le plaisir de tous les joueurs. En effet, on remarque l’engouement pour des titres comme Soulcalibur IV qui a été développé sur 360 et sur Ps3. Cependant, ceux qui ont connu les débuts de la série regrettent sa perte d’identité malgré de nombreux points positifs.
Capcom, créateur de titres qui réconcilient les vieux et jeunes joueurs à travers de nouveau concept à l’image d’un Devil May Cry. Malgré ce type de jeu, l’éditeur semble s’enfoncer à nouveau dans la facilité, en créant une énième suite sans saveur. Le personnel d’Osaka tente depuis quelques temps de puiser dans ces anciens succès afin de susciter encore du plaisir, mais aussi de remettre d’actualité des titres qui ont marqué toute une génération. La série Street Fighter II a connu de nombreux volets et prochainement une mise à jour en HD sera disponible pour s’affronter en ligne.
Une série qui s’éternise sur des années
A l’image d’un Street fighter zéro 3, Capcom a puisé ses filons à outrance jusqu’à dégouter les fans les plus endurcis. Cette méthode permettait à ce créateur de se constituer un beau profit, sans prendre de risque.
Certes, il s’agit d’un commentaire rapide, mais pourtant il résume bien la réalité malheureusement au détriment des joueurs. Sachez qu’il existe au départ de multiples modifications concernant Super Street Fighter II, mais nous devons revenir aux bases pour ne pas se perdre avec ces petits plus sur les nombreuses versions.
Capcom a procédé suivant une vieille tradition d’apporter plusieurs éléments à chaque année afin de relancer toujours de l’intérêt à sa série mythique.
Street Fighter a lançé des belles passions et a conduit les joueurs à devenir des spécialistes de ce genre de jeu, aux mêmes titres que ceux réalisés par son concurrent direct SNK.
Toutes machines confondues ?!
Super Street Fighter s’est démarqué en salle d’arcade, suivant le succès similaire à ces ainés. Nintendo profita de ce phénomène de masse pour placer sa série comme un argument de vente pour sa console Super Nintendo, dont la jouabilité est exemplaire (encore maintenant) par l’intermédiaire d’un joypad bien conçu.
Quelques mois plus tard cédant aux appels des sirènes, Capcom développe Street Fighter II ‘ pour la concurrence (Megadrive/ Sega), mais ne délaissant nullement le constructeur nippon en sortant également Street Fighter II Turbo.
Un an plus tard, Capcom lance simultanément son dernier bébé : Super Street Fighter II. Ce jeu sera considéré comme l’aboutissement de la série d’après les dires. Difficile de juger au départ, car la majorité des joueurs étaient déjà éblouis par les capacités techniques de la série, et malgré une forte concurrence.
Sorti en fin d’année 1994, une version 2Do vit le jour. Elle restait sans contexte l’une des meilleures conversions toutes machines confondues. La console 3do espérait retrouver un tel engouement afin de lancer au mieux ces ventes. Après d’autres versions, la console Gba accueillit cette série en rendant un vif hommage et là il était possible de se fighter partout avec sa console portable.
Les quatre salopards
Dans cette nouvelle mouture, nous trouvons quatre nouveaux combattants avec bien entendu un décor chacun. Le précédent volet avait mis en valeur les boss sélectionnables, ici les protagonistes ont une histoire de participer à ce tournoi.
Ainsi, Cammy, une belle blonde d’origine britannique combine l’agilité de Ken et offre une belle vue sur ces magnifiques jambes. Cette dernière pratique le close combat. Elle représente en quelque sorte une alternative face à Chun-li.
Thunder Hawk est un molosse qui allie la force du Russe Zangief mais qui dispose d’une agilité supérieur (coup de tête de l’aigle) à ce dernier. Un indien parmi d’autre brutes, voici une preuve d’originalité, ce personnage donne de la sympathie.
Dee Jay semble avoir les caractéristiques similaires à Guile puisque les coups se chargent et son décor offre un dépaysement total, un combat sur la plage entouré de musiciens et de danseurs.
Hommage à Bruce Lee, Fei Long est un adepte du Kung-fu. Il exécute une attaque fulgurante : un coup de poing fulgurant !
Cette nouvelle équipe se montre comme des challengers face à la vielle cavalerie.
Si un jour, vous voyez l’animé sorti en 1994, ce long métrage (1H40) présente tous les personnages à travers un scénario, certes classique, mais qui respecte le plus possible l’œuvre de Capcom.
Les personnages favoris
Avec ces nouveaux protagonistes, on peut penser que les premiers héros : Ryu, Honda, Balrog et les autres risquent d’être désavantagés face à cette jeunesse.
Capcom n’oublie les fans du premier opus, en apportant quelques surprises.
Le brave Ryu envoie à présent une boule de feu rouge augmentant les dégâts, la présence d’autres coloris dans le choix des personnages, avec des couleurs plus ou moins assorties. Chun li stoppe ses opposants qui sautent dessus. Cette dernière dispose d’un coup de pied sauté à l’image d’un sommersault kick (Guile).
Zangief, malgré sa lourdeur dispose d’une main de feu pour aspirer les boules de feu. L’ami Dhalsim crache du feu dans les airs, d’où une meilleure protection contre les attaques sautés.
Les boss, eux aussi ont des coups supplémentaires : M. Bison (Europe) Vega (Japonais) surprend mieux les adversaires par une attaque volante.
Ces nouvelles attaques améliorent grandement le choix des coups qui pourtant étaient bien important dans les volets précédents. On atteint encore une perfection, Capcom nous la joue façon Mister Plus.
Malgré ses suites, l’éditeur prouve qu’il donne de l’originalité pour ses personnages, mais aussi en donnant plus de liberté à ces anciens protagonistes.
Monsieur toujours plus
Dès l’introduction, Ryu projette un Haddoken à l’écran en direction du joueur, suivi d’une petite cinématique où on distingue une silhouette, ainsi que Chun-li et Cammy s’observant, le ton est donné. (Suivant les versions)
L’animation ainsi que le portait des personnages sont une nouvelle fois dessinées mais de manière plus agressive. Les décors connaissent une seconde jeunesse avec un ajout de couleurs et quelques détails à l’image du stage de Ken.
Les coups habituels ont été retravaillés à l’image d’un dragon punch qui laisse des trainées de flammes. Les boss bénéficient d’une fin personnalisée, un petit plus qui comble une nouvelle fois les fans.
Sans doute, le point le plus marquant de ce volet concerne l’apparition d’une nouvelle barre d’énergie nommée « Super ». Cette technique inaugure une manière différente de jouer mais aussi de tenir un écart face aux rivaux.
Lorsque vous réalisez des coups spéciaux ou que vous frappez votre opposant, une jauge situé en bas de l’écran se remplit au fur à mesure de vos exploits. Une fois, le niveau maximum atteint, la désignation « Super » apparaît, désormais votre combattant a le loisir d’exécuter un coup dévastateur.
Si vous réalisez le Super coup pendant la partie, votre protagoniste se déchaine en plaçant des Hits combo, c'est-à-dire un enchainement de coups. Un effet de clash lumineux se produit à la fin d’un round, si vous réussissez à placer cette technique.
Dans le menu, vous aurez l’opportunité de créer un mini-tournoi, il s’agit de rencontres rapides sans procéder par le mode scénario.
Ceci permettait d’organiser très rapidement des parties.
Akuma (Gouki Long au Japon) représente le boss ultime, ce personnage étrange a la particularité de réunir les capacités de Ryu et de Ken en seul combattant. A savoir que la traduction de son nom est le « Diable ».
Ce dernier possède une panoplie de coups importants et il est doté d’une vitesse incroyable.
La puissance n’est rien, sans la maitrise
Avec seulement 32 Megas, Super Street Fighter II sur Snes avait remporté les louanges des journalistes, mais aussi des joueurs. Capcom avait réussi une nouvelle fois son pari, apporter un jeu d’arcade à la portée de chacun.
Au fil des années, la série a évolué, mais cette mouture a instauré de nouvelles bases, non seulement pour les jeux Capcom, mais aussi d’une certaine façon ceux de la concurrence.
Ceux qui ont eu le loisir de toucher la version 3do vous affirmeront qu’il s’agissait du meilleur jeu de combat pour la console ; alors que le début de la 3D débarquait sur d’autres constructeurs.
La console Megadrive aura d’assez bonnes critiques, mais la machine avait des lacunes de programmation pour le chip sonore, dommage.
Toujours, à noter que l’opus Gba reste le moyen le plus agréable pour jouer à cet opus, ici pas de temps de chargement et la prise en main reste de qualité. Préférez une machine Game Boy Micro pour les touches L et R.
Le mythe, toujours en marche
Nous assistons depuis quelques temps que la mode est au retro gaming. Alors que Capcom travaille sur le prochain Street Fighter 4, une nouvelle version de Super Street Fighter II voit le jour sur les consoles dites nouvelle génération.
Même si les nouveaux joueurs seront plus ou moins attirés, des membres comme moi seront attirés par cette promesse. Pourtant, le fait de sortir à nouveau sa bonne vieille console et son jeu, on retrouve un plaisir identique comme au premier jour. (Du moins pour moi).
Capcom et Snk sont des éditeurs de talent, n’oublions pas que ces derniers ont su faire évoluer les jeux de combat pour aboutir à de véritables merveilles.
Super Street Fighter II demeure une référence dans le catalogue des jeux de combat.
Espérons que l’opus HD ne décevra en premier lieu les novices ; mais aussi les fans purs et durs, Capcom doit respecter ses bases.
En gardant l’espoir de partager sa passion en ligne, reprenons nos versions et invitons nos amis à des parties endiablées. Round One, Fight !
- Le retour d’un mythe sur consoles,
- Conversion de qualité face à son homologue d’arcade,
- Ergonomie de la manette pour la Snes mais aussi des autres machines,
- Esprit de compétition seul ou à deux joueurs,
- Personnages attachants et un meilleur équilibre entre les combattants,
- Toujours d’actualité.
- Dispersions des versions,
- Garder ses machines.
Graphismes : 18
Maniement : 19
Son : 17
Durée de vie : 17
Scénario : -
Note Globale : 19.00/20
Images issues du Joypad n°33, des sites jeux video.com, Poket magazine, et clichés personnels
Développeur : Nintendo & autres
Editeur : Capcom
Genre : Baston en 2D, 1-2 Joueur(s) simultanément
Format : Arcade, Snes, Md, Compilations, etc.
Année : 1993-1994
Les jeux de combat sont revenus sur le devant de la scène pour le plaisir de tous les joueurs. En effet, on remarque l’engouement pour des titres comme Soulcalibur IV qui a été développé sur 360 et sur Ps3. Cependant, ceux qui ont connu les débuts de la série regrettent sa perte d’identité malgré de nombreux points positifs.
Capcom, créateur de titres qui réconcilient les vieux et jeunes joueurs à travers de nouveau concept à l’image d’un Devil May Cry. Malgré ce type de jeu, l’éditeur semble s’enfoncer à nouveau dans la facilité, en créant une énième suite sans saveur. Le personnel d’Osaka tente depuis quelques temps de puiser dans ces anciens succès afin de susciter encore du plaisir, mais aussi de remettre d’actualité des titres qui ont marqué toute une génération. La série Street Fighter II a connu de nombreux volets et prochainement une mise à jour en HD sera disponible pour s’affronter en ligne.
Une série qui s’éternise sur des années
A l’image d’un Street fighter zéro 3, Capcom a puisé ses filons à outrance jusqu’à dégouter les fans les plus endurcis. Cette méthode permettait à ce créateur de se constituer un beau profit, sans prendre de risque.
Certes, il s’agit d’un commentaire rapide, mais pourtant il résume bien la réalité malheureusement au détriment des joueurs. Sachez qu’il existe au départ de multiples modifications concernant Super Street Fighter II, mais nous devons revenir aux bases pour ne pas se perdre avec ces petits plus sur les nombreuses versions.
Capcom a procédé suivant une vieille tradition d’apporter plusieurs éléments à chaque année afin de relancer toujours de l’intérêt à sa série mythique.
Street Fighter a lançé des belles passions et a conduit les joueurs à devenir des spécialistes de ce genre de jeu, aux mêmes titres que ceux réalisés par son concurrent direct SNK.
Toutes machines confondues ?!
Super Street Fighter s’est démarqué en salle d’arcade, suivant le succès similaire à ces ainés. Nintendo profita de ce phénomène de masse pour placer sa série comme un argument de vente pour sa console Super Nintendo, dont la jouabilité est exemplaire (encore maintenant) par l’intermédiaire d’un joypad bien conçu.
Quelques mois plus tard cédant aux appels des sirènes, Capcom développe Street Fighter II ‘ pour la concurrence (Megadrive/ Sega), mais ne délaissant nullement le constructeur nippon en sortant également Street Fighter II Turbo.
Un an plus tard, Capcom lance simultanément son dernier bébé : Super Street Fighter II. Ce jeu sera considéré comme l’aboutissement de la série d’après les dires. Difficile de juger au départ, car la majorité des joueurs étaient déjà éblouis par les capacités techniques de la série, et malgré une forte concurrence.
Sorti en fin d’année 1994, une version 2Do vit le jour. Elle restait sans contexte l’une des meilleures conversions toutes machines confondues. La console 3do espérait retrouver un tel engouement afin de lancer au mieux ces ventes. Après d’autres versions, la console Gba accueillit cette série en rendant un vif hommage et là il était possible de se fighter partout avec sa console portable.
Les quatre salopards
Dans cette nouvelle mouture, nous trouvons quatre nouveaux combattants avec bien entendu un décor chacun. Le précédent volet avait mis en valeur les boss sélectionnables, ici les protagonistes ont une histoire de participer à ce tournoi.
Ainsi, Cammy, une belle blonde d’origine britannique combine l’agilité de Ken et offre une belle vue sur ces magnifiques jambes. Cette dernière pratique le close combat. Elle représente en quelque sorte une alternative face à Chun-li.
Thunder Hawk est un molosse qui allie la force du Russe Zangief mais qui dispose d’une agilité supérieur (coup de tête de l’aigle) à ce dernier. Un indien parmi d’autre brutes, voici une preuve d’originalité, ce personnage donne de la sympathie.
Dee Jay semble avoir les caractéristiques similaires à Guile puisque les coups se chargent et son décor offre un dépaysement total, un combat sur la plage entouré de musiciens et de danseurs.
Hommage à Bruce Lee, Fei Long est un adepte du Kung-fu. Il exécute une attaque fulgurante : un coup de poing fulgurant !
Cette nouvelle équipe se montre comme des challengers face à la vielle cavalerie.
Si un jour, vous voyez l’animé sorti en 1994, ce long métrage (1H40) présente tous les personnages à travers un scénario, certes classique, mais qui respecte le plus possible l’œuvre de Capcom.
Les personnages favoris
Avec ces nouveaux protagonistes, on peut penser que les premiers héros : Ryu, Honda, Balrog et les autres risquent d’être désavantagés face à cette jeunesse.
Capcom n’oublie les fans du premier opus, en apportant quelques surprises.
Le brave Ryu envoie à présent une boule de feu rouge augmentant les dégâts, la présence d’autres coloris dans le choix des personnages, avec des couleurs plus ou moins assorties. Chun li stoppe ses opposants qui sautent dessus. Cette dernière dispose d’un coup de pied sauté à l’image d’un sommersault kick (Guile).
Zangief, malgré sa lourdeur dispose d’une main de feu pour aspirer les boules de feu. L’ami Dhalsim crache du feu dans les airs, d’où une meilleure protection contre les attaques sautés.
Les boss, eux aussi ont des coups supplémentaires : M. Bison (Europe) Vega (Japonais) surprend mieux les adversaires par une attaque volante.
Ces nouvelles attaques améliorent grandement le choix des coups qui pourtant étaient bien important dans les volets précédents. On atteint encore une perfection, Capcom nous la joue façon Mister Plus.
Malgré ses suites, l’éditeur prouve qu’il donne de l’originalité pour ses personnages, mais aussi en donnant plus de liberté à ces anciens protagonistes.
Monsieur toujours plus
Dès l’introduction, Ryu projette un Haddoken à l’écran en direction du joueur, suivi d’une petite cinématique où on distingue une silhouette, ainsi que Chun-li et Cammy s’observant, le ton est donné. (Suivant les versions)
L’animation ainsi que le portait des personnages sont une nouvelle fois dessinées mais de manière plus agressive. Les décors connaissent une seconde jeunesse avec un ajout de couleurs et quelques détails à l’image du stage de Ken.
Les coups habituels ont été retravaillés à l’image d’un dragon punch qui laisse des trainées de flammes. Les boss bénéficient d’une fin personnalisée, un petit plus qui comble une nouvelle fois les fans.
Sans doute, le point le plus marquant de ce volet concerne l’apparition d’une nouvelle barre d’énergie nommée « Super ». Cette technique inaugure une manière différente de jouer mais aussi de tenir un écart face aux rivaux.
Lorsque vous réalisez des coups spéciaux ou que vous frappez votre opposant, une jauge situé en bas de l’écran se remplit au fur à mesure de vos exploits. Une fois, le niveau maximum atteint, la désignation « Super » apparaît, désormais votre combattant a le loisir d’exécuter un coup dévastateur.
Si vous réalisez le Super coup pendant la partie, votre protagoniste se déchaine en plaçant des Hits combo, c'est-à-dire un enchainement de coups. Un effet de clash lumineux se produit à la fin d’un round, si vous réussissez à placer cette technique.
Dans le menu, vous aurez l’opportunité de créer un mini-tournoi, il s’agit de rencontres rapides sans procéder par le mode scénario.
Ceci permettait d’organiser très rapidement des parties.
Akuma (Gouki Long au Japon) représente le boss ultime, ce personnage étrange a la particularité de réunir les capacités de Ryu et de Ken en seul combattant. A savoir que la traduction de son nom est le « Diable ».
Ce dernier possède une panoplie de coups importants et il est doté d’une vitesse incroyable.
La puissance n’est rien, sans la maitrise
Avec seulement 32 Megas, Super Street Fighter II sur Snes avait remporté les louanges des journalistes, mais aussi des joueurs. Capcom avait réussi une nouvelle fois son pari, apporter un jeu d’arcade à la portée de chacun.
Au fil des années, la série a évolué, mais cette mouture a instauré de nouvelles bases, non seulement pour les jeux Capcom, mais aussi d’une certaine façon ceux de la concurrence.
Ceux qui ont eu le loisir de toucher la version 3do vous affirmeront qu’il s’agissait du meilleur jeu de combat pour la console ; alors que le début de la 3D débarquait sur d’autres constructeurs.
La console Megadrive aura d’assez bonnes critiques, mais la machine avait des lacunes de programmation pour le chip sonore, dommage.
Toujours, à noter que l’opus Gba reste le moyen le plus agréable pour jouer à cet opus, ici pas de temps de chargement et la prise en main reste de qualité. Préférez une machine Game Boy Micro pour les touches L et R.
Le mythe, toujours en marche
Nous assistons depuis quelques temps que la mode est au retro gaming. Alors que Capcom travaille sur le prochain Street Fighter 4, une nouvelle version de Super Street Fighter II voit le jour sur les consoles dites nouvelle génération.
Même si les nouveaux joueurs seront plus ou moins attirés, des membres comme moi seront attirés par cette promesse. Pourtant, le fait de sortir à nouveau sa bonne vieille console et son jeu, on retrouve un plaisir identique comme au premier jour. (Du moins pour moi).
Capcom et Snk sont des éditeurs de talent, n’oublions pas que ces derniers ont su faire évoluer les jeux de combat pour aboutir à de véritables merveilles.
Super Street Fighter II demeure une référence dans le catalogue des jeux de combat.
Espérons que l’opus HD ne décevra en premier lieu les novices ; mais aussi les fans purs et durs, Capcom doit respecter ses bases.
En gardant l’espoir de partager sa passion en ligne, reprenons nos versions et invitons nos amis à des parties endiablées. Round One, Fight !
- Le retour d’un mythe sur consoles,
- Conversion de qualité face à son homologue d’arcade,
- Ergonomie de la manette pour la Snes mais aussi des autres machines,
- Esprit de compétition seul ou à deux joueurs,
- Personnages attachants et un meilleur équilibre entre les combattants,
- Toujours d’actualité.
- Dispersions des versions,
- Garder ses machines.
Graphismes : 18
Maniement : 19
Son : 17
Durée de vie : 17
Scénario : -
Note Globale : 19.00/20
- Spoiler:
Images issues du Joypad n°33, des sites jeux video.com, Poket magazine, et clichés personnels