Poème saint valentin
"A l’image du phénix, tu as su toujours renaitre et chaque difficulté t’a renforcé dans des convictions. Tu ne savais pas qu’on aimait et tu jouais au renard apeuré. Nos regards se sont croisés, mais tu n’as voulu de mon aide. Il a fallu du temps pour que je me rapproche de ton âme de loup torturé. A présent, laisse-moi être celle qui t’aimes. Soyons des êtres différents face à ce monde égoïste.
Laisses-moi t’aimer, et faire avec toi le plus voyage."
"Un jour, je t’aimerais moins, jusqu’au jour, je t’aimerais plus ; mais est-ce là une logique implacable ? Toi, seule à la réponse à mes angoisses. Je ne voulais pas la moindre pitié et pourtant tu as attaqué des travaux dans mon cœur en milles morceaux. Place à la révolution, j’avais trop souffert et là tu as soigné mes blessures et je serais éternellement reconnaissant. Le loup solitaire a trouvé le réconfort.
"
"A l’image du phénix, tu as su toujours renaitre et chaque difficulté t’a renforcé dans des convictions. Tu ne savais pas qu’on aimait et tu jouais au renard apeuré. Nos regards se sont croisés, mais tu n’as voulu de mon aide. Il a fallu du temps pour que je me rapproche de ton âme de loup torturé. A présent, laisse-moi être celle qui t’aimes. Soyons des êtres différents face à ce monde égoïste.
Laisses-moi t’aimer, et faire avec toi le plus voyage."
"Un jour, je t’aimerais moins, jusqu’au jour, je t’aimerais plus ; mais est-ce là une logique implacable ? Toi, seule à la réponse à mes angoisses. Je ne voulais pas la moindre pitié et pourtant tu as attaqué des travaux dans mon cœur en milles morceaux. Place à la révolution, j’avais trop souffert et là tu as soigné mes blessures et je serais éternellement reconnaissant. Le loup solitaire a trouvé le réconfort.
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