Gentlemen start you Engines !Part. Two
La voiture de Mr. est avancée...
Après un passage dans la mythique sportive la 205 Turbo 16, dimanche dernier. Nous poursuivons notre quête dans le bonheur de piloter au volant de bolides, après ce second dossier. Toujours élaboré avec l'artiste Captain A. et le soutien de mon Senseï Asenka.
Prêt pour le départ….alors let’s go !
Select from 4 different views
En 1996, Sega sort Sega Touring Car Championship : un jeu avec des voitures de tourisme, développé par le studio AM-3 sous la direction de Sakaguchi San (Rez, Space Channel 5). Puis vient le splendide Scud Race (à quand une sortie sur consoles actuelles ?) et ses courses de super GT (développé sur le Model 3 de Virtua Fighter 3), il se nomme d’ailleurs Sega Super GT hors du japon. Ce titre donnera des idées au studio Turn 10 pour créer la série Forza.
Puis suivront en 1998, Sega Rally Championship 2 chez Sega Rosso et Daytona Usa 2 chez Amusement Vision, deux suites mythiques qui pousseront encore plus loin le réalisme. La même année, on peut trouver chez Sega, le Mans24 la simulation officielle des 24 heures du Mans. C’est en 1999 que se termine ce défilé de l’ultra réalisme toujours signé par Sega avec F355 Challenge concocté par Yu Suzuki, simulation ultime poussant le réalisme à son paroxysme avec sa conduite sur 3 écrans et qui remportera 4 prix d’excellence de la part de Ferrari.
Crusin n' usa, l'une des série de Midway
Avec la 3D, tout un tas de développeurs se sont engouffrés dans le circuit des jeux de course en arcade, mais peu de titres sont arrivés à se faire un nom.
Parmi ceux-là, on peut compter la série des Cruis’n de Midway, le Maximum Speed d’Atari, les Side by Side de Taito, Racing Jam, Winding Heat et autres Midnight Run, Road Fighter 2 chez Konami, et donc Ridge Racer de Namco qui sera l’un des rares à vraiment concurrencer Sega sur le terrain des jeux de course 3D.
Initial D, une série très connue au Japon
Cherche utilitaire jaune immatriculé Psy-Wgn
Autant les années 90 étaient la course au réalisme extrême réduisant par conséquence le nombre de joueurs, autant le début de ce millénaire a vu le retour à la source de la part des éditeurs à commencer par Sega Rosso avec le titre Initial D Arcade Stage (2002) basé sur le manga éponyme de Shigeno Shuichi dont il reprend la trame.
Le jeu propose des courses à flanc de montagne dans des véhicules asiatiques plutôt communes (Toyota Corolla, Mitsubishi Lancer Evo…) et la série marche à fond au Japon, grâce à un ajout tout bête : chaque joueur peut sauvegarder ses scores, temps et upgrades sur une carte à pouce aux couleurs du jeu, fidélisation garantie. D’ailleurs le jeu a tellement bien marché que Namco s’est décidé à faire suivre la même direction à sa série vedette Wagan Midnight, ainsi que Taito avec son Battle Gear 3 qui se joue en ligne.
Le tour est finalement bouclé avec Out Run 2, sorti sur Chihiro system. Encore une fois, Yu Suzuki frappe fort puisqu’il invente le premier jeu de drague sur roue. En plus des modes classiques, Out Run 2 propose un Heart attack mode où il faudra à la manière d’un Crazy Taxi, répondre aux demandes de votre passagère pour grimper dans son estime.
De plus, le jeu gère 8 Ferrari : 365 Gts/4, Dino 246 Gts, Testarossa, Gto, F40, 360 Spider, Enzo Ferrari,… Ce titre est sorti sur la première Xbox en octobre 2004, puis il a connu un regain d’intérêt sur Xbla ainsi que sur le Psn.
F-Zero utilisant la carte Tri-force
Les Fous du volant
Pour finir et dans le même registre, il reste certains titres inclassables : Crazy Taxi avec son rythme fou et sa bande sonore de dingue.
F-Zero Ax, un jeu réalisé sur la carte Tri-Force avec l’appui de trois éditeurs, Namco, Nintendo et Sega, une véritable prouesse dans le domaine de l’arcade, de plus les versions Gamecube Japonais étaient parfaitement compatibles avec la borne d’arcade, une révolution. Scud Race Plus, ses courses de jouets ; Emergency Call Ambulance où il faudra emmener un blessé à l’hôpital tout en le ménageant, Tokyo Bus Tour et ses bus Tokyoïtes et Jambo Safari qui vous fera vivre un safari en pleine Afrique !
Pas évident de résumer en quelques lignes, plus de 20 ans de jeux de courses mais si vous désirez les voir de plus près, la plupart ont été convertis sur console (les plus vieux sur 8/16 bits puis la majorité sur les 32 bits). Il aura cependant fallu attendre la Dreamcast pour voir des conversions à peu près égales aux versions arcade.
Les simulateurs de conduite en arcade autrefois la fleur de l’évolution technologique sont un peu délaissés aujourd’hui (en France) par les joueurs qui se tournent vers des productions spécialement développées sur pour les consoles de salon : des jeux plus longs et soi-disant plus aboutis… mais au fun très souvent laissé sur le bord de la toute.
Cockpit vs Volant plastique
Contrairement aux jeux de combat (une Dreamcast et un stick peuvent parfois suffi…), même avec une machine actuelle, il est totalement impossible de retrouver le plaisir de l’arcade pour la simple et bonne raison qu’une borne de simulation de course est unique : aucune comparaison n’est possible entre la version arcade de luxe de Sega Rally 2 ou encore les 3 écrans de F355 (et son levier de vitesse) avec un pad analogique voire un volant en plastique sur un téléviseur 55 cm…
Ces cabinets ont donc une saveur unique en arcade que seules, les salles obscures peuvent retranscrire. C’est aussi égaler un cockpit complet ! Il reste cependant une solution pour les plus fortunés : acheter une borne complète sur www.coinopexpress.com par exemple. Comptez entre 1500 et 3000 euros pour des cabinets moyen de gamme et jusqu’à 10 000 euros pour des bornes de luxe.
A lire également :
1ière partie du dossier
Out Run live arcade
Les 30 ans de la 205 Peugeot
F355 Challenge
Ma prochaine voiture, une 355 ?
La voiture de Mr. est avancée...
Après un passage dans la mythique sportive la 205 Turbo 16, dimanche dernier. Nous poursuivons notre quête dans le bonheur de piloter au volant de bolides, après ce second dossier. Toujours élaboré avec l'artiste Captain A. et le soutien de mon Senseï Asenka.
Prêt pour le départ….alors let’s go !
Select from 4 different views
En 1996, Sega sort Sega Touring Car Championship : un jeu avec des voitures de tourisme, développé par le studio AM-3 sous la direction de Sakaguchi San (Rez, Space Channel 5). Puis vient le splendide Scud Race (à quand une sortie sur consoles actuelles ?) et ses courses de super GT (développé sur le Model 3 de Virtua Fighter 3), il se nomme d’ailleurs Sega Super GT hors du japon. Ce titre donnera des idées au studio Turn 10 pour créer la série Forza.
Puis suivront en 1998, Sega Rally Championship 2 chez Sega Rosso et Daytona Usa 2 chez Amusement Vision, deux suites mythiques qui pousseront encore plus loin le réalisme. La même année, on peut trouver chez Sega, le Mans24 la simulation officielle des 24 heures du Mans. C’est en 1999 que se termine ce défilé de l’ultra réalisme toujours signé par Sega avec F355 Challenge concocté par Yu Suzuki, simulation ultime poussant le réalisme à son paroxysme avec sa conduite sur 3 écrans et qui remportera 4 prix d’excellence de la part de Ferrari.
Crusin n' usa, l'une des série de Midway
Avec la 3D, tout un tas de développeurs se sont engouffrés dans le circuit des jeux de course en arcade, mais peu de titres sont arrivés à se faire un nom.
Parmi ceux-là, on peut compter la série des Cruis’n de Midway, le Maximum Speed d’Atari, les Side by Side de Taito, Racing Jam, Winding Heat et autres Midnight Run, Road Fighter 2 chez Konami, et donc Ridge Racer de Namco qui sera l’un des rares à vraiment concurrencer Sega sur le terrain des jeux de course 3D.
Initial D, une série très connue au Japon
Cherche utilitaire jaune immatriculé Psy-Wgn
Autant les années 90 étaient la course au réalisme extrême réduisant par conséquence le nombre de joueurs, autant le début de ce millénaire a vu le retour à la source de la part des éditeurs à commencer par Sega Rosso avec le titre Initial D Arcade Stage (2002) basé sur le manga éponyme de Shigeno Shuichi dont il reprend la trame.
Le jeu propose des courses à flanc de montagne dans des véhicules asiatiques plutôt communes (Toyota Corolla, Mitsubishi Lancer Evo…) et la série marche à fond au Japon, grâce à un ajout tout bête : chaque joueur peut sauvegarder ses scores, temps et upgrades sur une carte à pouce aux couleurs du jeu, fidélisation garantie. D’ailleurs le jeu a tellement bien marché que Namco s’est décidé à faire suivre la même direction à sa série vedette Wagan Midnight, ainsi que Taito avec son Battle Gear 3 qui se joue en ligne.
Le tour est finalement bouclé avec Out Run 2, sorti sur Chihiro system. Encore une fois, Yu Suzuki frappe fort puisqu’il invente le premier jeu de drague sur roue. En plus des modes classiques, Out Run 2 propose un Heart attack mode où il faudra à la manière d’un Crazy Taxi, répondre aux demandes de votre passagère pour grimper dans son estime.
De plus, le jeu gère 8 Ferrari : 365 Gts/4, Dino 246 Gts, Testarossa, Gto, F40, 360 Spider, Enzo Ferrari,… Ce titre est sorti sur la première Xbox en octobre 2004, puis il a connu un regain d’intérêt sur Xbla ainsi que sur le Psn.
F-Zero utilisant la carte Tri-force
Les Fous du volant
Pour finir et dans le même registre, il reste certains titres inclassables : Crazy Taxi avec son rythme fou et sa bande sonore de dingue.
F-Zero Ax, un jeu réalisé sur la carte Tri-Force avec l’appui de trois éditeurs, Namco, Nintendo et Sega, une véritable prouesse dans le domaine de l’arcade, de plus les versions Gamecube Japonais étaient parfaitement compatibles avec la borne d’arcade, une révolution. Scud Race Plus, ses courses de jouets ; Emergency Call Ambulance où il faudra emmener un blessé à l’hôpital tout en le ménageant, Tokyo Bus Tour et ses bus Tokyoïtes et Jambo Safari qui vous fera vivre un safari en pleine Afrique !
Pas évident de résumer en quelques lignes, plus de 20 ans de jeux de courses mais si vous désirez les voir de plus près, la plupart ont été convertis sur console (les plus vieux sur 8/16 bits puis la majorité sur les 32 bits). Il aura cependant fallu attendre la Dreamcast pour voir des conversions à peu près égales aux versions arcade.
Les simulateurs de conduite en arcade autrefois la fleur de l’évolution technologique sont un peu délaissés aujourd’hui (en France) par les joueurs qui se tournent vers des productions spécialement développées sur pour les consoles de salon : des jeux plus longs et soi-disant plus aboutis… mais au fun très souvent laissé sur le bord de la toute.
Cockpit vs Volant plastique
Contrairement aux jeux de combat (une Dreamcast et un stick peuvent parfois suffi…), même avec une machine actuelle, il est totalement impossible de retrouver le plaisir de l’arcade pour la simple et bonne raison qu’une borne de simulation de course est unique : aucune comparaison n’est possible entre la version arcade de luxe de Sega Rally 2 ou encore les 3 écrans de F355 (et son levier de vitesse) avec un pad analogique voire un volant en plastique sur un téléviseur 55 cm…
Ces cabinets ont donc une saveur unique en arcade que seules, les salles obscures peuvent retranscrire. C’est aussi égaler un cockpit complet ! Il reste cependant une solution pour les plus fortunés : acheter une borne complète sur www.coinopexpress.com par exemple. Comptez entre 1500 et 3000 euros pour des cabinets moyen de gamme et jusqu’à 10 000 euros pour des bornes de luxe.
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Ma prochaine voiture, une 355 ?