Akai katana
Support : Arcade & Xbox 360
Éditeur : Rising Star Games
Développeur : Cave
Sortie : 15 mai 2012 (mai 2011 au Japon)
Avant propos
Comment définir un shoot them up d’un autre ; cette question peut sembler de nombreux soucis aux novices dans ce genre, surtout que ce style commence à disparaitre de nos écrans et que seuls les bornes d’arcade (ainsi que la Dreamcast au Japon) accueillent encore ces jeux de tirs. Le Xbla (Xbox live arcade) a permis aux plus d’entre nous de découvrir des classiques comme Radiant Silvergun ou bien Ikaruga ; pourtant la console a reçu également des soft comme Deathsmiles ou Under Defeat en HD.
Au Japon, d’autres jeux ont été facilement publiés et malheureusement en Europe, nous n’avons pas eu ce privilège. Par chance, certains de ces softs sont lus en région « Free » ce qui signifie que vous pouvez jouer sur vos machines en France.
Terme Oldies-test ?, Quelle ironie !
Comme de nombreuses personnes, vous avez appris la disparition du site Jeux vidéo.fr. Etant moi-même un acteur actif au sein de groupe, j’ai voulu rendre hommage en élaborant un test sur un genre oublié sur nos machines actuelles. Je ne joue pas sur la corde nostalgique, mais il est bon de revenir sur des jeux qui ont une véritable Replay value. Le site jeux vidéo.fr a permis à des personnes comme Dragon Kevin, Sol, Smb, …et bien d’autres de montrer leur talent de rédacteur, ce site donnait vraiment la parole aux joueurs, ceux qui avaient et qui ont encore une Flamme et une Ame pour les jeux vidéo.
Pro-Gear, Shoot de Cave & Capcom
L’âme d’un shoot
Chaque shoot them up a son concept et sa propre histoire. Les concurrents ont su évolué le genre afin d’apporter des nouveautés en terme de gameplay, sans pour autant utiliser les dernières technologies actuelles. Certes, ce jeu nécessite bien souvent deux ou trois touches, mais le shoot est une expérience unique pour les Hard core Gamers.
Ne mélangez pas un Gradius de Konami face à Thunder Force de Techno soft ! La patte graphique, les bruitages, la gestion des boulettes, l’ambiance musicale,… tous ces éléments donnent à chaque shoot, un titre unique, tout comme un tatouage (même thème, mais plusieurs façons de le présenter).
Il est toujours intéressant de se plonger dans la notice de chaque jeu, car cela démontre déjà un gage de qualité vis-à-vis du joueur.
Nous sommes à l’ère Taisho, époque qui précéda l’expansion industrielle du Japon et ses promesses de reconstruction. En cette période de boom économique et d’innovations technologiques, on découvrit une nouvelle source d’énergie : un minerai appelé le Guiding Mineral, parfait substitut du charbon et de l’électricité. En plus de ses propriétés en tant que ressource naturelle, ce minerai présentait d’autres qualités mystérieuses. Il pouvait être travaillé afin de forger une arme appelée Guiding Katana qui conférait des pouvoirs psychiques uniques à certains soldats dotés d’emblèmes spéciaux.
On raconte qu’une fois que ce Katana avait tué un être humain, il devenait rouge sang et conférait un incroyable pouvoir à son porteur. C’est ce pouvoir qu’utilisa l’Empereur Basho pour protéger son petit pays et l’agrandir. Il n’eut de cesse d’attaquer les pays voisins avec un bataillon d’élite qui maniait des Katanas de sang. Ce bataillon était connu sous le nom des dix soleils et il était haï de toutes parts. L’Empereur lui confia la tâche d’étendre le royaume, même si cela demanderait des sacrifices.
Mais des différents surgirent au sein du groupe et ceux qui s’opposaient à ces actions dictatoriales formèrent leur propre ensemble. Les rebelles contestèrent l’ordre établi et soulevèrent. Le fils même de l’Empereur Basho, Kikyou Saionji, était le meneur de cette rébellion.
Toujours de l’Histoire ?
Déployant trois vaisseaux dévastateurs appelés Shakevolts, les armes secrètes du bataillon rebelle, Kikyou et ses alliés utilisèrent leurs Guiding Katanas pour une cérémonie mystique…où l’un des pilotes fut sacrifié pour invoquer un immense pouvoir.
A l’instar de l’Empire, le bataillon de Kikyou avait crée ses propres Katanas de sang. Les pilotes de ces vaisseaux jurèrent alors de vaincre l’Empire. Ainsi débuta le combat entre la justice et la tyrannie.
Dernier jeu de l’année porté par les soins de Cave sur xbox 360, Akai Katana Shin continue l’expérimentation de l’éditeur en faveur du Danmaku à scrolling horizontal. Genre très peu prédestiné à ce type d’affichage tant la lisibilité des patterns peut devenir quelque peu difficile à percevoir correctement. Bien entendu, l’éditeur n’en est pas à ses premiers essais et possède un passé marqué par quelques titres utilisant ce défilement, Progear No Arashi et Deathsmiles ont été les deux précurseurs de la firme. Que vaut donc ce dernier shoot de l’année « presented by cave », très bon cru ou pétard mouillé ?
Univers surréaliste au premier abord, mais totalement en adéquation avec le milieu du steampunk, propre à certaines productions du studio nippon, Akai Katana mélange habilement le monde de la guerre situé aux alentours de la seconde guerre mondiale avec un monde plein d’émotions. (Sacrifice du pilote d’où transformation en mode Phantom)
Simple, non ?
Contrairement à des titres sortis sur des machines comme la Superfamicom ou bien la Megadrive, Akai Katana s’adresse aux fanatiques des patterns ; oui vous avez bien lu. Le gameplay au départ semble être basique ; cependant il regorge de tonnes de subtilités comme la gestion du Phantom (mode attaque/défense) ou l’utilisation d’orbes d’acier à la place de vos « Katanas ». Par ailleurs, vous aurez à votre disposition un excellent tutorial en présentation, ainsi qu’une notice complète (dans le boitier) expliquant les différentes manières pour obtenir un score de folie.
Trois avions (et personnages donc) sont proposés. Les commandes sont assez classiques pour ceux qui connaissent bien les jeux de Cave : un bouton de TIR, un bouton pour les bombes, et un bouton pour passer en mode de protection Phantom. Ça parait simple, mais ca ne l'est jamais avec un shoot Cave ! Essayons d'expliquer simplement le gameplay, assez proche de Deathsmiles :
- Déjà, comme toujours, pour être tué, il faut que le point central de votre vaisseau (ou perso en fonction de votre transformation) soit touché, mais on s'en doutait, cela fait parti du genre. Le vieux ringard que je suis accepte cette aberration vidéoludique,
- Lorsque vous tirez, si vous tapotez le bouton vous vous déplacez vite mais générez peu de puissance de tir, si vous laissez le doigt appuyé, vous vous déplacez plus lentement mais votre force de frappe augmente. Un concept classique et sympa, sans prise de tête, car tout est géré avec un seul bouton,
- En tuant les ennemis vous récupérez de l'énergie que vous stockez. Il y a ici une subtilité : en mode tir auto les boules d'énergie sont attirées vers vous, en tir classique il faut aller les capturer. Une barre verte d'énergie se remplit petit à petit, et à tout moment vous pouvez déclencher le Phantom,
- Le Phantom c'est une bulle de protection qui entoure votre personnage. Elle est valable le temps que votre barre verte se décharge. Dans cette configuration les boulettes ennemies sont repoussées, SAUF si vous utilisez le tir puissant (touche tir enfoncée), car là votre bulle devient inactive... Donc c'est un risque calculé à prendre.
Exemple de mode attaque : Quand votre Phantom passe à ce système, il utilise un laser appelé le Guiding Cannon. Cette attaque est très puissante, en contre partie votre vaisseau est ralenti. Détruire des ennemis avec ce canon les piège dans un champ explosif (qui détruit également leurs balles).
Le Bar Top de Neo Legend
Une étrange similitude
Akai Katana se destine déjà à un public habitué à ce genre de shoot them up, mais allons plus loin dans notre raisonnement. Ce titre a eu le mérite d’être édité par Rising Star Games, prouvant que ce style de jeu peut encore plaire à un grand nombre, en raison de la notierété de Cave en la matière, mais également que le soft a une âme et un savoir-faire donnant une Repaly value incroyable. Aujourd’hui, ce logiciel est recherché par un grand nombre de collectionneurs, de plus toute la documentation est parfaitement illustrée, ainsi que des modes dédiés pour la version Xbox 360 (comme le mode Climax : l’écran s’agrandit et offre un autre confort visuel, mais aussi une difficulté réduite).
Le fait de diriger deux appareils donne du challenge aux fans, avec de nombreuses variances avec les items. L’univers où se déroule l’action montre encore l’imagination débordante du studio Cave ; cependant on ressent le dégagement de savoir-faire et Akai Katana pourra également plaire aux novices.
Chaque shoot them up est unique et l’univers de ce titre plonge littéralement le joueur ; il y a de la magie, un souffle de l’esprit (Pentecôte) qui attire le néophyte, malgré une difficulté incroyable pour un Danmaku à scrolling horizontal.
Nono a su me capter pour son prochain travail, bien qu’il ne connaît pas le monde du jeu vidéo, il a su créer un motif digne de mes sentiments envers un être proche. L’émotion dans le dessin ressemble étrangement à la couverture du jeu Akai Katana.
- Esprit des anciens ?
- Réalisation technique au top,
- Titre issu du studio Cave,
- Titre sorti en France, incroyable,
- Vendu à un tarif plus que correct (-35 euros, à l’époque)
- Jeu réservé au départ à l’Elite
- …non, rien de spécial
Note Gloable : 17.50/20
Avis des sites
« CAVE a mélangé bon nombre d'éléments de ces jeux précédents : le style de Progear, le module comparable à Deathsmiles, les ennemis militaires de Ketsui, les effets spéciaux de Dodonpachi Daifukkatsu, pour au final nous donner un jeu très cohérent. »
Shmup.com
« Comme toujours ce "nouveau" shoot de Cave s'adresse avant tout aux fans de puzzle-scoring... Cependant les vrais fans de shoot'em up à l'ancienne peuvent quand même se laisser tenter car le jeu est très beau (techniquement et artistiquement) et l'aspect scoring reste passionnant. Pas du niveau de Deathsmiles (avis personnel) mais très bien quand même. Indispensable dans une collection de fan de shoot quoi qu'il arrive. »
Gamopat.com
Support : Arcade & Xbox 360
Éditeur : Rising Star Games
Développeur : Cave
Sortie : 15 mai 2012 (mai 2011 au Japon)
Avant propos
Comment définir un shoot them up d’un autre ; cette question peut sembler de nombreux soucis aux novices dans ce genre, surtout que ce style commence à disparaitre de nos écrans et que seuls les bornes d’arcade (ainsi que la Dreamcast au Japon) accueillent encore ces jeux de tirs. Le Xbla (Xbox live arcade) a permis aux plus d’entre nous de découvrir des classiques comme Radiant Silvergun ou bien Ikaruga ; pourtant la console a reçu également des soft comme Deathsmiles ou Under Defeat en HD.
Au Japon, d’autres jeux ont été facilement publiés et malheureusement en Europe, nous n’avons pas eu ce privilège. Par chance, certains de ces softs sont lus en région « Free » ce qui signifie que vous pouvez jouer sur vos machines en France.
Terme Oldies-test ?, Quelle ironie !
Comme de nombreuses personnes, vous avez appris la disparition du site Jeux vidéo.fr. Etant moi-même un acteur actif au sein de groupe, j’ai voulu rendre hommage en élaborant un test sur un genre oublié sur nos machines actuelles. Je ne joue pas sur la corde nostalgique, mais il est bon de revenir sur des jeux qui ont une véritable Replay value. Le site jeux vidéo.fr a permis à des personnes comme Dragon Kevin, Sol, Smb, …et bien d’autres de montrer leur talent de rédacteur, ce site donnait vraiment la parole aux joueurs, ceux qui avaient et qui ont encore une Flamme et une Ame pour les jeux vidéo.
Pro-Gear, Shoot de Cave & Capcom
L’âme d’un shoot
Chaque shoot them up a son concept et sa propre histoire. Les concurrents ont su évolué le genre afin d’apporter des nouveautés en terme de gameplay, sans pour autant utiliser les dernières technologies actuelles. Certes, ce jeu nécessite bien souvent deux ou trois touches, mais le shoot est une expérience unique pour les Hard core Gamers.
Ne mélangez pas un Gradius de Konami face à Thunder Force de Techno soft ! La patte graphique, les bruitages, la gestion des boulettes, l’ambiance musicale,… tous ces éléments donnent à chaque shoot, un titre unique, tout comme un tatouage (même thème, mais plusieurs façons de le présenter).
Il est toujours intéressant de se plonger dans la notice de chaque jeu, car cela démontre déjà un gage de qualité vis-à-vis du joueur.
Nous sommes à l’ère Taisho, époque qui précéda l’expansion industrielle du Japon et ses promesses de reconstruction. En cette période de boom économique et d’innovations technologiques, on découvrit une nouvelle source d’énergie : un minerai appelé le Guiding Mineral, parfait substitut du charbon et de l’électricité. En plus de ses propriétés en tant que ressource naturelle, ce minerai présentait d’autres qualités mystérieuses. Il pouvait être travaillé afin de forger une arme appelée Guiding Katana qui conférait des pouvoirs psychiques uniques à certains soldats dotés d’emblèmes spéciaux.
On raconte qu’une fois que ce Katana avait tué un être humain, il devenait rouge sang et conférait un incroyable pouvoir à son porteur. C’est ce pouvoir qu’utilisa l’Empereur Basho pour protéger son petit pays et l’agrandir. Il n’eut de cesse d’attaquer les pays voisins avec un bataillon d’élite qui maniait des Katanas de sang. Ce bataillon était connu sous le nom des dix soleils et il était haï de toutes parts. L’Empereur lui confia la tâche d’étendre le royaume, même si cela demanderait des sacrifices.
Mais des différents surgirent au sein du groupe et ceux qui s’opposaient à ces actions dictatoriales formèrent leur propre ensemble. Les rebelles contestèrent l’ordre établi et soulevèrent. Le fils même de l’Empereur Basho, Kikyou Saionji, était le meneur de cette rébellion.
Toujours de l’Histoire ?
Déployant trois vaisseaux dévastateurs appelés Shakevolts, les armes secrètes du bataillon rebelle, Kikyou et ses alliés utilisèrent leurs Guiding Katanas pour une cérémonie mystique…où l’un des pilotes fut sacrifié pour invoquer un immense pouvoir.
A l’instar de l’Empire, le bataillon de Kikyou avait crée ses propres Katanas de sang. Les pilotes de ces vaisseaux jurèrent alors de vaincre l’Empire. Ainsi débuta le combat entre la justice et la tyrannie.
Dernier jeu de l’année porté par les soins de Cave sur xbox 360, Akai Katana Shin continue l’expérimentation de l’éditeur en faveur du Danmaku à scrolling horizontal. Genre très peu prédestiné à ce type d’affichage tant la lisibilité des patterns peut devenir quelque peu difficile à percevoir correctement. Bien entendu, l’éditeur n’en est pas à ses premiers essais et possède un passé marqué par quelques titres utilisant ce défilement, Progear No Arashi et Deathsmiles ont été les deux précurseurs de la firme. Que vaut donc ce dernier shoot de l’année « presented by cave », très bon cru ou pétard mouillé ?
Univers surréaliste au premier abord, mais totalement en adéquation avec le milieu du steampunk, propre à certaines productions du studio nippon, Akai Katana mélange habilement le monde de la guerre situé aux alentours de la seconde guerre mondiale avec un monde plein d’émotions. (Sacrifice du pilote d’où transformation en mode Phantom)
Simple, non ?
Contrairement à des titres sortis sur des machines comme la Superfamicom ou bien la Megadrive, Akai Katana s’adresse aux fanatiques des patterns ; oui vous avez bien lu. Le gameplay au départ semble être basique ; cependant il regorge de tonnes de subtilités comme la gestion du Phantom (mode attaque/défense) ou l’utilisation d’orbes d’acier à la place de vos « Katanas ». Par ailleurs, vous aurez à votre disposition un excellent tutorial en présentation, ainsi qu’une notice complète (dans le boitier) expliquant les différentes manières pour obtenir un score de folie.
Trois avions (et personnages donc) sont proposés. Les commandes sont assez classiques pour ceux qui connaissent bien les jeux de Cave : un bouton de TIR, un bouton pour les bombes, et un bouton pour passer en mode de protection Phantom. Ça parait simple, mais ca ne l'est jamais avec un shoot Cave ! Essayons d'expliquer simplement le gameplay, assez proche de Deathsmiles :
- Déjà, comme toujours, pour être tué, il faut que le point central de votre vaisseau (ou perso en fonction de votre transformation) soit touché, mais on s'en doutait, cela fait parti du genre. Le vieux ringard que je suis accepte cette aberration vidéoludique,
- Lorsque vous tirez, si vous tapotez le bouton vous vous déplacez vite mais générez peu de puissance de tir, si vous laissez le doigt appuyé, vous vous déplacez plus lentement mais votre force de frappe augmente. Un concept classique et sympa, sans prise de tête, car tout est géré avec un seul bouton,
- En tuant les ennemis vous récupérez de l'énergie que vous stockez. Il y a ici une subtilité : en mode tir auto les boules d'énergie sont attirées vers vous, en tir classique il faut aller les capturer. Une barre verte d'énergie se remplit petit à petit, et à tout moment vous pouvez déclencher le Phantom,
- Le Phantom c'est une bulle de protection qui entoure votre personnage. Elle est valable le temps que votre barre verte se décharge. Dans cette configuration les boulettes ennemies sont repoussées, SAUF si vous utilisez le tir puissant (touche tir enfoncée), car là votre bulle devient inactive... Donc c'est un risque calculé à prendre.
Exemple de mode attaque : Quand votre Phantom passe à ce système, il utilise un laser appelé le Guiding Cannon. Cette attaque est très puissante, en contre partie votre vaisseau est ralenti. Détruire des ennemis avec ce canon les piège dans un champ explosif (qui détruit également leurs balles).
Le Bar Top de Neo Legend
Une étrange similitude
Akai Katana se destine déjà à un public habitué à ce genre de shoot them up, mais allons plus loin dans notre raisonnement. Ce titre a eu le mérite d’être édité par Rising Star Games, prouvant que ce style de jeu peut encore plaire à un grand nombre, en raison de la notierété de Cave en la matière, mais également que le soft a une âme et un savoir-faire donnant une Repaly value incroyable. Aujourd’hui, ce logiciel est recherché par un grand nombre de collectionneurs, de plus toute la documentation est parfaitement illustrée, ainsi que des modes dédiés pour la version Xbox 360 (comme le mode Climax : l’écran s’agrandit et offre un autre confort visuel, mais aussi une difficulté réduite).
Le fait de diriger deux appareils donne du challenge aux fans, avec de nombreuses variances avec les items. L’univers où se déroule l’action montre encore l’imagination débordante du studio Cave ; cependant on ressent le dégagement de savoir-faire et Akai Katana pourra également plaire aux novices.
Chaque shoot them up est unique et l’univers de ce titre plonge littéralement le joueur ; il y a de la magie, un souffle de l’esprit (Pentecôte) qui attire le néophyte, malgré une difficulté incroyable pour un Danmaku à scrolling horizontal.
Nono a su me capter pour son prochain travail, bien qu’il ne connaît pas le monde du jeu vidéo, il a su créer un motif digne de mes sentiments envers un être proche. L’émotion dans le dessin ressemble étrangement à la couverture du jeu Akai Katana.
- Esprit des anciens ?
- Réalisation technique au top,
- Titre issu du studio Cave,
- Titre sorti en France, incroyable,
- Vendu à un tarif plus que correct (-35 euros, à l’époque)
- Jeu réservé au départ à l’Elite
- …non, rien de spécial
Note Gloable : 17.50/20
Avis des sites
« CAVE a mélangé bon nombre d'éléments de ces jeux précédents : le style de Progear, le module comparable à Deathsmiles, les ennemis militaires de Ketsui, les effets spéciaux de Dodonpachi Daifukkatsu, pour au final nous donner un jeu très cohérent. »
Shmup.com
« Comme toujours ce "nouveau" shoot de Cave s'adresse avant tout aux fans de puzzle-scoring... Cependant les vrais fans de shoot'em up à l'ancienne peuvent quand même se laisser tenter car le jeu est très beau (techniquement et artistiquement) et l'aspect scoring reste passionnant. Pas du niveau de Deathsmiles (avis personnel) mais très bien quand même. Indispensable dans une collection de fan de shoot quoi qu'il arrive. »
Gamopat.com