Je profite d'être toujours en arrêt maladie pour faire une p'tite fiche sur un livre génial. Du coup vous aussi vous profitez de mon arrêt. Je sais je suis trop bon.
Titre complet: World War Z,une histoire orale de la guerre des zombies.
Auteur: Max Brooks
Edition: Calmann-Levy
Collection: Interstices
Petit mot sur l'auteur:
Max Brooks est un écrivain et scénariste américain né le 22 mai 1972 à New York. Comme son nom l'indique c'est le fils du réalisateur Mel Brooks (très connu aux USA dans les années 80). Il était membre de l'équipe créative du Saturday Nigth Live, un poid lourd de l'humour et du divertissement outre atlantique.
Voila pour la petite biographie.
L'histoire lu sur la 4ème de couverture:(merci la fnac pour le copier/coller)
La guerre des zombies a eu lieu, manquant éradiquer l’ensemble de l'humanité.
L’auteur, en mission pour l’ONU et poussé par l’urgence de devoir préserver les témoignages directs des survivants de ces années apocalyptiques, a voyagé dans le monde entier pour les rencontrer, dans les cités en ruine qui jadis abritaient des millions d’âmes jusqu’aux coins les plus inhospitaliers de la planète.
Il a recueilli les paroles d’hommes, de femmes, parfois d’enfants, ayant dû faire face à l’horreur ultime. WORLD WAR Z en est le résultat.
Jamais auparavant nous n’avions eu accès à un document de première main aussi saisissant sur la réalité de l’existence – de la survivance – humaine au cours de ces années maudites.
Depuis le désormais tristement célèbre village de Nouveau Dachang, en Chine, là où l’épidémie a débuté avec un patient zéro de 12 ans, jusqu’aux forêts du Nord dans lesquelles – à quel prix ! – nombre d’entre nous ont trouvé refuge, en passant par les Etats-Unis d’Afrique du Sud, cette chronique des années de guerre reflète sans faux semblants la réalité de l’épidémie.
Par-dessus tout, cet ouvrage a su retranscrire au plus près la dimension humaine, parfois pathétique, de cet événement sans précédent. Prendre connaissance de ces comptes-rendus parfois à la limite du supportable demandera un certain courage au lecteur.
Mais l’effort en vaut la peine, car pour paraphraser l’auteur de cette histoire orale : « En excluant le facteur humain, ne risque-t-on pas de prendre trop de recul par rapport à une histoire qui pourrait un jour — Dieu nous en garde — se répéter ?
Et, au final, n’est-ce précisément pas le facteur humain qui nous différencie de cet ennemi que nous appelons “mort-vivant” à défaut d’autre chose ? »
Mon avis sur le livre:
C'est un excellent petit bouquin. Il fait 406 pages ce qui est relativement peu mais surtout, le style choisi par l'auteur permet une lecture simple, efficace et surtout morcelée.
Le livre est divisé en trois grande partie que l'on pourrait nommer "avant" "pendant" et "après". Et dans chacune de ses parties nous avons les témoignages de différents acteurs de la crise. Ce qui permet une lecture rapide et renforce la force du livre. On voit le même combat par les yeux de différent interlocuteur qui sont tous liés sans que l'on s'en aperçoive dès le début. De plus ce découpage permet de lire quelques pages par ci par là, idéal pour les transports en commun ou les petits pauses.
Le style d'écriture est moderne dans le sens où il est direct et sans prise de tête sans pour autant tomber dans la facilité. Il faut aussi rajouter une certaine dose d'humour...noir et de cynisme.
Bref j'ai adoré!
Titre complet: World War Z,une histoire orale de la guerre des zombies.
Auteur: Max Brooks
Edition: Calmann-Levy
Collection: Interstices
Petit mot sur l'auteur:
Max Brooks est un écrivain et scénariste américain né le 22 mai 1972 à New York. Comme son nom l'indique c'est le fils du réalisateur Mel Brooks (très connu aux USA dans les années 80). Il était membre de l'équipe créative du Saturday Nigth Live, un poid lourd de l'humour et du divertissement outre atlantique.
Voila pour la petite biographie.
L'histoire lu sur la 4ème de couverture:(merci la fnac pour le copier/coller)
La guerre des zombies a eu lieu, manquant éradiquer l’ensemble de l'humanité.
L’auteur, en mission pour l’ONU et poussé par l’urgence de devoir préserver les témoignages directs des survivants de ces années apocalyptiques, a voyagé dans le monde entier pour les rencontrer, dans les cités en ruine qui jadis abritaient des millions d’âmes jusqu’aux coins les plus inhospitaliers de la planète.
Il a recueilli les paroles d’hommes, de femmes, parfois d’enfants, ayant dû faire face à l’horreur ultime. WORLD WAR Z en est le résultat.
Jamais auparavant nous n’avions eu accès à un document de première main aussi saisissant sur la réalité de l’existence – de la survivance – humaine au cours de ces années maudites.
Depuis le désormais tristement célèbre village de Nouveau Dachang, en Chine, là où l’épidémie a débuté avec un patient zéro de 12 ans, jusqu’aux forêts du Nord dans lesquelles – à quel prix ! – nombre d’entre nous ont trouvé refuge, en passant par les Etats-Unis d’Afrique du Sud, cette chronique des années de guerre reflète sans faux semblants la réalité de l’épidémie.
Par-dessus tout, cet ouvrage a su retranscrire au plus près la dimension humaine, parfois pathétique, de cet événement sans précédent. Prendre connaissance de ces comptes-rendus parfois à la limite du supportable demandera un certain courage au lecteur.
Mais l’effort en vaut la peine, car pour paraphraser l’auteur de cette histoire orale : « En excluant le facteur humain, ne risque-t-on pas de prendre trop de recul par rapport à une histoire qui pourrait un jour — Dieu nous en garde — se répéter ?
Et, au final, n’est-ce précisément pas le facteur humain qui nous différencie de cet ennemi que nous appelons “mort-vivant” à défaut d’autre chose ? »
Mon avis sur le livre:
C'est un excellent petit bouquin. Il fait 406 pages ce qui est relativement peu mais surtout, le style choisi par l'auteur permet une lecture simple, efficace et surtout morcelée.
Le livre est divisé en trois grande partie que l'on pourrait nommer "avant" "pendant" et "après". Et dans chacune de ses parties nous avons les témoignages de différents acteurs de la crise. Ce qui permet une lecture rapide et renforce la force du livre. On voit le même combat par les yeux de différent interlocuteur qui sont tous liés sans que l'on s'en aperçoive dès le début. De plus ce découpage permet de lire quelques pages par ci par là, idéal pour les transports en commun ou les petits pauses.
Le style d'écriture est moderne dans le sens où il est direct et sans prise de tête sans pour autant tomber dans la facilité. Il faut aussi rajouter une certaine dose d'humour...noir et de cynisme.
Bref j'ai adoré!
Dernière édition par Silankh le Mer 19 Oct 2011 - 22:56, édité 1 fois